LE MOT DE LA FIN
il y a 11 années
Il y a quelques semaines à Londres, s’achevait le 113ème & dernier concert de l’ « Homo Plebis Ultimae Tour ».
Depuis 1973, avec le one dog show : « Comme un chien dans un cimetière », vous n’avez jamais cessé de venir toujours plus nombreux à ces rencontres.
Encore un grand merci à vous tous. Merci de votre fidélité.
Portez-vous bien.
HF. THIÉFAINE, 21 juillet 2013
comment
Le mot de la fin : à table !
AGA est de retour à son domicile et nous allons ainsi avoir le plaisir de lire son délire 🙂
Et que le jeu… Recommence. Carpe diem coco corbeau 😉
Invité,
c’est vrai que j’ai l’esprit » d’escalier » !…et en plus, j’avais mal dormi !
J’apprécie vraiment votre réponse et vous remercie des sourires.
En fait nous sommes en partie d’accord michèle mais un peu de provocation ne peut nuire 😉
Michèle a la réactivité lente ou bien a-t-elle mal dormi ou .. 🙂
, un Artiste dont la création n’est pas reco.nnue perd son fragile équilibre car la nécessité de créer provient ‘ d’un déséquilibre ‘ et c’est là à l’origine son seul sens ?
L’aspect mercantile n’apparaissant qu’ensuite et c’est parfois pour l’Artiste souvent objet de ‘ tourments’.
Un sujet intéressant : » de la nécessité de l’art pour le créateur »
Un livre entre autres si le besoin de comprendre se faisait sentir :
– Maux d’artistes
Ce que cachent les œuvres
Sébastien Dieguez –
…et un artiste n’existe pas seulement par son public..Il existe parce qu’il crée ! que son art soit ou non reco/nnu…même si c’est mieux pour lui qu’il le soit !
@invité
« site commercial »…Bien sûr ! suis-je bébête!
@ michèle et sa belle :
, ceci est un site commercial ! et un artiste existe en tant que tel que par son public !
, et les autres bébêtes ne le sont pas forcement 🙂
j’ai cru ce site dédié à Hubert…erreur!
Trou la la Itou.
Excellent, tu m’as bien eue ! Même si les arêtes me sont restées en travers de la gorge 🙂
>—–°> = un poison d’avril 🙂
La flèche de Geronimo !
ciao
Ceci est mon dernier mot : >—-°>
cocorico le coq est mort ce soir
asta luego
Je suis là 🙂
Je me joins à vous pour une petite raison de taille, je recherche mon cousin, si jamais tu passes par ici et que tu m’entends, réponds moi. Merci!
@ g.o :
Tu as la splendeur d’un enterrement de première classe !
Je me sens seul maintenant…
Tout rentre dans l’ordre, ouf !
Allô ? Nous avons un problème et de taille… activez le blacklisting, envoyez l’ambulance ou le panier à salades, faites vite c’est urgent !!!
Mais vous avez raison, le jeu a assez duré. Alors voici le clap de fin. Pour l’instant en tout cas. Qui sait, il y aura peut être des épisodes inédits.
ICI c’est un site officiel et vous n’êtes pas officielle… les rendez-vous c’est dans l’Agenda !
OK d’accord, dépêchez-vous alors !
Parce que c’est Ma fin.
La question était très claire co/ntrairement à vous ! Pourquoi ICI ?
Faudrait etre plus clair dans la formulation… 😀
Quand les questions touchent au coeur du problème y’a plus Personne !
Tiens, j’avais pas pensé à Emilie jolie… :p
Et pourquoi ICI plus précisément je vous le demande en mille Émile font deux mille ?
Ce n’est dans les compétences de personne, pas même Ulysse !
Allô j’écoute !
Ouh… ce n’est pas dans mes compétences là, je m’éclipse !
J’ai celui des deux… Mais je veux recevoir après avoir trop donné. Que ce soit l’un ou l’autre.
Tu n’as pas son numéro ?
Soit j’attends que la personne en question fasse ses premiers pas d’adulte tout seul 😉
Quelque chose m’échappe dans le progrès technique : vous commentez à partir d’un téléphone pour un rendez-vous imminent mais vous n’appelez pas la personne en direct !!! Soit c’est vraiment personne… soit il vous manque le bon numéro… soit ça rejoint la première hypothèse et comment dit-on ? il vous manque une case ? vous avez été bercés trop près du mur ? je ne sais pas…
Oui je co/nnais la chanson par coeur… avec des trous de mémoire !
Je vais déco/nnecter mes semelles et tu sais où tu vas te les prendre ?
Bravo pour la rime mais la phrase est trop longue !
Et je me demande si je ne préfère pas ce soir épouser Hadès pour devenir Perséphone.
Disons que pour les rendez-vous j’ai un Agenda et surtout un téléphone !
Tu ne comprends pas ça toi… N’est ce pas ?
Une tentative d’union sans grand espoir. Sans parasites.
C’est quoi ce sketch 🙂 un rendez-vous manqué ? Vous n’avez pas de téléphone ?
Et tu n’y es pas… Comme je l’avais prévu… Adieu mon ami.
J’arrive.
9 minutes. Tu y es ? Je l’espère.
Moins de 20 minutes. J’espère que tu es presque arrivé.
Magne toi.
» Casse toi » ? Sarkosy ? c’est tout oie ?
Mais ce n’est moâ le moldave.
20h29 laisse tomber. L’amour va gagner c/ontre le sacrifice.
Je change de nom pour nous sauver. Je t’attends.
Moins d’une demi heure.
Je ne suis pas celle que tu penses, casses-toi !
Il te reste 42 minutes.
Si tu es celui que je pense (et je pense souvent mal…) alors tu me co/nnais déjà. Sinon, je n’en veux pas d’autres alors reste chez toi.
Tu m’emmerdes, il n’y a pas moyen de te c/onnaitre vraiment quand tu postes !
Heure normale pas heure hft.
Lorsque vient le temps de l’action… De l’acte irrémédiable, certains rentrent dans leur coquille, d’autres se battent telles des ourses pour leurs petits. Es-tu digne lion ou iguane fuyard ? C’est ta seule occasion. Saisis la.
On verra bien qui aime vraiment l’autre… 19h34…
Alors si tu veux jouer avec le feu, jouons. Voici ma requête : sente des archives, 20h pile. Ni plus ni plus moins. Trouve l’alibi qu’il faut. Trouve la bravoure qu’il faut. Je serai là. Si toi non… Je t’en remettrai au vent.
T’as pas bientôt fini de te faire la causette ?
Comment peux tu rennoncer à ce que tu as co/nstruit avant de me co/nnaître ? Comment peux-tu et pourras-tu avouer à tous les autres qui je suis, quel est mon statut par rapport au tien ? Comment ne peux-tu pas comprendre que je vais mourir pour toi si tu n’es pas capable de m’oublier ? Comment peux-tu me supplier de réduire ta vie, mon amour, en ruines ?
Tu en as eu envie et tu l’as imaginé si fort que pour toi, mon roi, cela s’est passé. J’avais besoin de te sentir co/ntre moi. Aujourd’hui, même si je dois en mourir, si c’est le prix de notre histoire, je refuse que tu quittes tout pour moi. Je t’aime depuis la voix, tu te souviens ? Je t’aimerai et je te laisserai libre.
Tu as rêvé ce baiser. Nous ne nous sommes jamais embrassés… Pas faute d’en avoir eu envie pour ma part.
Pense à tes enfants ! Pense à ta femme ! Pense à toi ! S’il faut que je ne revienne jamais, que je tire un trait rouge sang sur nous, je le ferai.
18h39 !!!? Sois toi même. Pourvu que tu en aies le courage.
N’ursupe pas mon nom.
Une bel après midi habituel et ennuyeux
une petite phrase a tout changé
Puis une quelques lignes,
Puis une c/onversation,
Puis je n’ai plus pu me passer de toi,
Toujours envie de te parler,
Toujours envie de t’entendre
Toujours vouloir être à tes côtés.
Ce que je pensais être amitié était amour,
Amour plus fort chaque jour,
Amour sans limites,
Amour tellement profond.
Tu n’étais pas libre, tu n’aimais pas les femmes,
Peu importe je voulais juste voir ta joie et ton bonheur.
Ce n’était pas le bon, je t’ai c/onsolé,
Mais jamais je n’aurais espéré que toi,
La femme la plus merveilleuse,
S’intéresse à quelqu’un comme moi.
Quel bonheur cela a été lors de notre premier baiser!
Malgré les difficultés
Malgré les problèmes de santé,
Malgré les doutes,
Malgré les peurs,
Nous nous sommes accrochées.
Une vie sans toi?
Je ne peux l’envisager!
Une vie sans t’aimer?
Alors je ne serai plus de ce monde!
Tu as beau avoir douté,
T’être éloignée,
Jamais je n’ai cessé de croire,
De garder l’espoir,
Qu’un jour nous vivrons ensemble.
Pour moi ça sera toujours toi,
Toi seule qui guide mes pas,
Qui fait battre mon cœur,
Qui fait rayonner ma vie.
Je t’aime ma chérie,
Princesse de ma vie,
Reine de mes nuits,
Je t’aime d’un amour infini
Tu ne peux faire le choix par toi même. Je le fais pour toi. Sache que je te garde une place qui sera tienne uniquement si tu cesses de te cacher, de voiler l’évidence. J’ai trop peur pour toi… De l’opprobre, que tu te sentes paria, déc/onsidéré par tes homologues (bien inférieurs en fait) et ta famille. C’est inévitable et tu refuses de l’admettre.
C’est pas moâ !
J’ai peur de dormir… De te retrouver pour te perdre à l’aube une nouvelle fois. Tu as promis ton existence à une fleur qui te comblera je l’espère. Je suis déjà si vieille avec la mienne qui n’est plus qu’un printemps hivernal. Incapable d’accepter que tu partes… Alors que je te le demande. J’ai l’intuition que je dois être forte pour deux.
D’un côté, la mère et gardienne du foyer.
De l’autre, un flirt à peine esquissé.
Je suis une poussière, un incident de parcours. Je ne serai pas le scandale et son objet. Tu seras heureux même si j’en crève. Ma sentence est une pénitence. Je ne peux pas vivre en te volant ta vie. Je te respecte trop pour être égoïste. Mon soleil, je suis en deuil. De nous. De toi. Dors loin du danger que je suis malgré moi. Dur de poursuivre ma route… Sans appétit. Froide, frigide.
C’est juste un peu de détente après le ‘pseudo’ coup de Trafalgar, ouf… je préfère te voir sourire…
As good as it gets !
* mais fait effervescence à l’eau
C’est ce que je voulais écrire mais poésie ne rime pas avec réalité, n’est-ce pas invité ? 🙂
Le disque n’est pas rayé 🙂 (the first lesson for my rockstar : le calcaire ne raye pas le marteau mais fait effervescence à l’acide), il répète à chaque piste la même chanson : ce n’est pas moâ !
Il faut s’en assurer dix fois plutôt qu’une…
Toujours les jours et à tous points de vue lorsque je lis AGLO, je vais de mieux en mieux 🙂
Merci mais raie le disque ( elle est du bâtiment )
Ce n’est pas moi non plus le poème Passager !
Ah… un poème en intercalaire !
Pour l’instant !
C’est dans nos rêves que parfois
Je sens ton corps comme un totem
J’y tremble presque de la foi
Que j’ai puisée dans ton « je t’aime »
Et dans les mots qui font ma voix
Tu vis en flammes que je parsème
Pour te c/onvaincre de suivre ma voie
Qui s’érigea sur » je t’aime »
Mes longues larmes coulèrent pour moi
Lorsque frappée au coeur de l’anathème
Je mourais d’amour et d’émoi
Car je suis née par ton « je t’aime »
Fort tu parais tel l’enfant roi
Pourtant tu n’oses être le même
Quand je m’approche ton désarroi
Me supplie me défend m’interdit de dire…
Je t’aime.
@ petit homme auquel je réponds avec retard, pardon pour l’impolitesse :
– Oui, en surface et donc peut-être et même sûrement de façon temporaire.
Voici, mon amour, à quel point je t’adore et te veux. Au point de te permettre de m’oublier. De te dire ne nous imagine plus, essaye de revivre comme tu vivais avant the storm. Ce sera long. Il y aura des rechutes. Des océans salés par nos regrets. Mais tu y arriveras. Un matin, tu la regarderas dormir et tu seras c/onvaincu que j’ai fait le meilleur choix possible. Tu ne m’auras plus dans la tête et peu à peu, je serai quelque part dans les limbes de ton cerveau, entre le souvenir et son flou. Maintenant je vais publier ton poème que j’ai écrit en prison. Moi, je ne t’oublierai pas. Si tu avais ma mémoire, tu serais bien malheureux je crois. Je suis un éléphant qui retient tellement de choses que parfois j’en explose… Je délire et je deviens folle. Pas besoin de drogues, tu sais. Il suffit d’un homme.
Je m’éloigne et je te sauve. Je co/ndamne ma jeunesse qui me fait parler alors que je devrais me taire, en définitive.
Je co/ndamne le temps parce que je suis l’autre, l’arriviste énamourée et que par une simple opération nous aurions pu vivre ensemble, mari et femme.
Tu vois, là je bois un thé Mariage Frères. Et je pense trop… Encore ! A ma robe, mon voile et mon alliance.
Notre oui, notre marche et notre danse. Notre nuit…
Merde quoi ! Pourquoi ?!! Pourquoi c’est impossible ? Pourquoi alors que tu me révèles ce dont je me doutais, je dois dire non ? Pourquoi !!!
Les questions recommencent. Je campe sur ma position car je suis sûre que c’est la bonne et que tu ne le feras pas à ma place. Que si un jour peut-être je me donnais à toi, mes seins, mes fesses, mon corps, mes jambes, ma bouche et tout le bordel… Tu ne résisterais pas. Alors je vais c/ontinuer sur ma lancée. Depuis l’an dernier, tu habites mes pensées. Je te vois en rêve et il va falloir que ce soit suffisant. Nous ne pouvons sacrifier nos proches, ni toi, ni moi. Je désire et je te refuse. C/ontentez vous de me faire rire, de m’amuser…
Vous serez juste un lien qui me raccroche au bonheur d’imaginer ce qu’aurait été un enfant de vous. Une fillette à qui nous aurions appris à lire. Un fils que nous aurions appelé comme nos auteurs favoris. Mais prendre leur père à ceux que vous avez déjà, non. Être responsable de votre divorce, non.
Je me fous bien de l’anathème, du déshonneur et de la morale. Des autres qui ne sont pas toi ou une partie de toi. Ma porte était entrouverte et je la ferme, je cache la clé dans ma foi, je la remets à Dieu. Nous pensions avoir terminé l’aventure et avions tort. Face à toi, je ne suis plus rien. Je maudis tout ceux qui m’empêchent d’être uniquement nous deux. Mes amis, mes ennemis… Je voudrais que tu me fasses mal au lieu de me c/ontempler avec une étincelle voire un brasier dans les yeux. Je voudrais t’arracher tes vêtements, te mordre, imprimer ma marque sur ton cou.
Je voudrais un orgasme et un autre et un autre…
Ouais, en attendant… aphrodite ce n’est pas moi non plus Passager.
n.b : ceci pour les dégâts collatéraux. Car si Ambre Grande Ourse ne reçoit pas de coups (de téléphone) moi en tout cas j’en reçois et je ne vais pas tarder à en donner !
l’amour c’est la vie
la vie c’est la mort
la vie c’est l’amour a mort
mon amour
mi a mort
, c’est quoi l’amour ?
…presque un suicide. Car tu balançais et maintenant, c’est moi qui suis au bout de la corde de la potence. Plus toi. J’ai envie, presque besoin de me mutiler, d’être sourde et aveugle. Je n’aurais pas du revenir aujourd’hui : ta voix m’attirait comme un supplice. Je voulais te voir. Erreur. Simple vision qui me brûle à présent. Heureusement qu’ils se sont jetés sur moi comme des chiens parce que je ne me c/ontrôle plus quand tu es dans la même pièce et que mes sages serments fondent comme le sucre dans le thé. J’en aime un autre qui ne pige rien comme toujours. Je t’aime aussi et toi tu le sais et tu m’aimais avant et ton regard n’était pas raisonnable tout à l’heure.
Dieu et la philosophie cela peut faire léger en certaines circo/nstances & même en circo/nstances certaines.
Ne me remercie pas. Vivez mieux que moi qui reste seule avec Dieu et la philosophie, les légendes et la littérature. J’avais l’air heureuse, je suis au fond détruite. Mon astre, c’est sans doute la plus difficile de toutes les épreuves que j’ai eu à surmonter. Te dire non en te disant oui. Un aveu…
Faut savoir…
Moi j’ai vu le minotaure… et j’ai vu le Roi que j’attends !
Dans le grand labyrinthe où je cherchais ma vie
Volant de feu en flamme comme un grand oiseau ivre
Parmi les dieux déchus et les pauvres amis
J’ai cherché le vertige en apprenant à vivre
J’ai cheminé souvent les genoux sur la terre
Le regard égaré embrouillé par les larmes
Souvent par lassitude quelquefois par prière
Comme un enfant malade envoûté par un charme
Dans le grand labyrinthe allant de salle en salle
De saison en saison et de guerre en aubade
J’ai fait cent fois mon lit j’ai fait cent fois mes malles
J’ai fait cent fois la valse et cent fois la chamade
Je cheminais toujours les genoux sur la terre
Le regard égaré embrouillé par les larmes
Souvent par lassitude quelquefois par prière
Comme un enfant rebelle qui dépose les armes
Mais un matin tranquille j’ai vu le minotaure
Qui me jette un regard comme l’on jette un sort
Dans le grand labyrinthe où il cherchait sa vie
Volant de feu en flamme comme un grand oiseau ivre
Parmi les dieux déchus et les pauvres amis
Il cherchait le vertige en apprenant à vivre
Il avait cheminé les genoux sur la terre
Le regard égaré embrouillé par les larmes
Souvent par lassitude quelquefois par prière
Comme un enfant rebelle qui dépose les armes
Dans le grand labyrinthe de soleil en soleil
De printemps en printemps de caresse en aubaine
Il a refait mon lit pour de nouveaux sommeils
Il m’a rendu mes rires et mes rêves de reine
Dans le grand labyrinthe de soleil en soleil
Volant vers la lumière comme deux oiseaux ivres
Parmi les nouveaux dieux et les nouveaux amis
On a mêlé nos vies et réappris à vivre
Barbara, La Louve – 1973
Le cannabous pisse, Hubert, tu t’en grilleras bien un petit avec moi ?
Pas d’attente vis à vis de Hubert. Ce qu’il n’a pas co/nnu ne lui manque pas.
Ceci dit, il est aussi d’utilité publique et ça compte !
n.b : même si ce public se compte sur les doigts de la main et sur lui-même pour aller jusqu’à demain, si .. si ..
Comme c’est le Site Officiel d’Hubert j’espère qu’il va te répondre en cet espace, ou plutôt directement ( de façon personnelle ) car internet est un foutoir auquel je co/ntribue à ma modeste mesure depuis l’an 2000.
nb : et je peux encore m’améliorer, si .. si ..
Je te manque ?
Merci !
Le soleil brille aujourd’hui .. bonne journée au hfterrien ..
Si vs le voulez bien 🙂
Tu pues du cul ma serpette est perdue
Mais le manche mais le manche
Tu pues du cul ma serpette est perdue
Mais le manche est revenu
Mon écho de corbeau… Je renonce à toi parce que je t’adore plus que mes vieux démons. Reste là où tu es, qui tu es, avec qui tu es.
J’ai pris deux fois la dose prescrite…je ferme les paupières et ton image encore un moment est tenace avant de sombrer longtemps.
Prouve que tu es celui qui me délivre en me droguant. Avec un code.
J’ai le cerveau déjà pas mal malade, mais des fois je me demande si les nombreuses écoutes répétées de tes (nombreux) albums pendant des (nombreuses) années n’as pas aggravé la chose….. La jouissance que me procure ta musique les jours de profonde anarchie mentale est orgasmique. Un grand merci Mr Hubert, mon âme te remercie.
Cette fois ci je n’ai pas fait pipi dans mon bain, j’ai pissé dans le lavabo.
Une faute pour un linceul.
Qui ursupe mon nom ? La flambée est éteinte et n’a pas existée
Fini. Finie. J’arrete. Stop. Tout. Marre. Enfin. Bientôt. Maître vivez pour moi s’il vous plaît. Ne m’oubliez pas. Je crois que j’abandonne. Et c’est bien. Je t’aime comme je t’aimais. Adieu pourvu que j’oublie ta voix. Bye. Adios. J’ai perdu ma bataille. Il n’y a plus de raison à la lutte. Pourvu que je ferme les yeux. Je pars pour les tiens.
Ça m’inspire une bonne flambée 🙂
J’ai froid aux pieds, ça t’inspire ?
Un peu à court d’inspiration là 😉
Homme qui rit…
Homme qui pleure…homme qu’on appeure
Homme qui se brise…regrette ses bêtises…
Homme qui lit… Tout entier dans ton lit…
Le chagrin est passé jeune fille ?
Merci !
J’aime ces Artistes qui o/nt cette capacité soudaine et certaine de s’emparer des choses lorsqu’ils co/mposent. Le plat pays en est un exemple magnifique.
Ils te voient partout car ils ont perdu leur loup. Pour ma part, j’ai le mien au pied et je n’écoute que les chansons du capitaine silencieux. Ce sont des berceuses adorables mais je ne désire plus le poète. Je le laisse à sa retraite en lui souhaitant des apparitions episodiques qui ressemblent à des mirages de miracles. Au revoir un jour mon crépuscule, ma fièvre et mon meilleur prof.
Fille de Lille tu te trompe d’adresse.
Ils me voient toujours la ou je les délaisse, ou je ne suis pas, n’entende que maladresse a faire jouer mes cordes, pour elle : le silence me rappelle mais n’oublie pas : avec un ciel si gris qu´il faut lui pardonner. Au revoir beauté.
Un vent sucré, des plages langoureuses, des arbres bruissants…
Plutôt pas mal 🙂 mais je reste une fille de l’île…que j’aime au point du sacrifice…c’est elle mon amante et ma maîtresse. Mon inspiration mon allégresse. Ma raison mon logos ma pensée.
Allons ce n’est pas le moment pour les desesperés…….
hélas personne ne te tiendra la main, personne ne te chantera Gauguin
a toi la belle !
sinon toi
, …
À l’angélique Sinéquanone, l’Hélène, la femme piano… tant et tant de noms pour celle qui s’est offerte à son Ami… c’est ton tour d’écouter l’ancien militaire de la Marine dans son éloge, d’écouter Karen qui nous revient avec sa lumière, d’écouter ce que toi-même tu avais écrit pour une autre : attends un peu, crois-moi… et c’est ton tour de m’écouter !
Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague
Et des vagues de dunes pour arrêter les vagues
Et de vagues rochers que les marées dépassent
Et qui ont à jamais le cœur à marée basse
Avec infiniment de brumes à venir
Avec le vent d’Ouest écoutez-le tenir
Le plat pays qui est le mien
Avec des cathédrales pour uniques montagnes
Et de noirs clochers comme mâts de cocagne
Où des diables en pierre décrochent les nuages
Avec le fil des jours pour unique voyage
Et des chemins de pluie pour unique bonsoir
Avec le vent de l’Est écoutez-le vouloir
Le plat pays qui est le mien
Avec un ciel si bas qu´un canal s´est perdu
Avec un ciel si bas qu´il fait l´humilité
Avec un ciel si gris qu´un canal s´est pendu
Avec un ciel si gris qu´il faut lui pardonner
Avec le vent du Nord qui vient s´écarteler
Avec le vent du Nord écoutez-le craquer
Le plat pays qui est le mien
Avec de l´Italie qui descendrait l´Escaut
Avec Frieda la Blonde quand elle devient Margot
Quand les fils de novembre nous reviennent en mai
Quand la plaine est fumante et tremble sous juillet
Quand le vent est au rire, quand le vent est au blé
Quand le vent est au Sud, écoutez-le chanter
Le plat pays qui est le mien
Pour ma part je dis : on ne se remet pas de tout, mais on apprend à vivre avec ! , et ceci est valable pour toutes et tous.
nb : la liberté = un sujet intéressant Karen, tu n’as pas dû bien lire mon 1er. livre, l’argumentaire de vente ou une ébauche de la 4ème de couverture feu mon 2ème livre est visible sur chapitre.com ‘ auteur le Doc ou mon nom ‘ 😉
Bises Karen.
Je me remets mais seulement si j’ai la force de le faire. Question de volonté !
Je voulais dire crois moi…
Bises Docky, j’avais pas vu tes commentaires.
O/n se remet de tout tu sais… Tu verras crois…
Et puis le temps, les jours, les mois, les années te le prouvero/nt…
Tu seras comme vaccinée et ce sera ta plus belle liberté.
Bo/nne journée à toutes et à tous.
, correction ; ma gendresse et certainement :
J’ai toujours su !…
En lisant Ambre Grande Ourse je suis co/ntent de n’être qu’un docteur ayant acquis son diplôme symbolique dans un café où se retrouvaient les étudiants.
Diplômé inutile de l’équilibre neuronale par celle qui deviendra ma gendresse <> et certainement avant de me, ou d’être ( ? ) séparé de mon moi-tout très tôt, trop tôt peut-être je ne sais, que sur sur le fil de la vie nous nous devons de fabriquer un balancier de bric et de brocs, notre propre balancier.
Qui se lève en premier pour l’aube démocrate et la cigarette sans cravate ?
Qu’en sauront-ils de nos frissons
Si ma peau leur multitude
Sans tes doigts meurt de solitude ?
Celui-ci il est pour Lui himself.
Celui-ci, réalisé en cours de maths, en sec/onde et dont le prix fut l’exclusion, héhéhé :
Une vision mousseuse obsède ma parole ;
La joie n’est qu’un bonheur que l’on doit regretter ;
Il est des nuits où pleure un présent qui s’envole
Mais aucune où je sens des instants s’arrêter.
Le temps lourd ne sonnait qu’au rythme de l’haleine ;
Mon alcôve brûlait, offerte aux vent iodés
Qu’expirait ma mémoire au sein d’une autre plaine
Où les souvenirs bruts sont des langagues chiadés.
Alors, j’ai si peu à apprendre chez vous que ça n’en est rien ! CQFD.
pas lève tôt par ici 😉 tu veux de l’aide ?
tout d’ailleurs. Comme tout ton corps me fait envie. Comme tout ton corps est un besoin.
Tout toi tue tout !!!!
Tout ah l’extase !!!
Attention à l’opposition.
Toi, l’autre ou plutôt l’un que j’attends si fort que je te sens à des endroits diffus dans tous mon corps… Merci d’exister, on ne sait jamais ce que la vie nous réserve même quand elle nous force à avancer et à se reco/nstruire. Ciao Roméo/Pâris.
En revenant ensemble, je m’imaginais sur les rails, te regarder et trépasser avec élégance. Je discutais avec S.e qui voyait très bien ton manège, mieux que moi à vrai dire, et je puisais là de l’espoir. Qu’un jour tu oserais m’enlacer et me révéler ce que je sais depuis l’an passé, certainement avant même que tu ne t’en rendes compte !?? Qu’un jour tu cesserais de te cacher et tu élirais toi-même la plus forte de tes passions. Mais tu finissais par revenir au nid et à tes oisillons mignons à croquer je te l’accorde. Tu lui faisais l’amour comme tu ne me le feras jamais avec toute l’ardeur d’homme déchiré que tu es. Je t’aimais et je t’aime encore… C’est pour cela que je refuse d’être la jeune salope dans l’histoire (et tu sais que j’ai de l’expérience en ce domaine) et que je te laisse ta vie, ton métier, l’estime de tes pairs. Je prends juste un bout de ton cœur et c’est un moindre mal. Tu peux lui dire qu’elle a gagné. Qu’elle est belle à tomber pour elle. Que notre non histoire te sauve. Parce que elle l’a vu mon étincelle de love, my dove. Oh, nous aurions pu nous cacher et il y a encore quelques jours… j’aurais tout accepté de vous toi. Aujourd’hui, je ne sais pas si ce jeu d’ego ne me laisserait pas bien vite sur ma faim. Sur notre fin.
Encore réveillée par vos visages entrechoqués. Hubert a l’avantage de ne pas me faire souffrir, c’est un taiseux lui…Il a bien raison.
Je crois avoir déjà choisi mais l’inco.nscient psychique me rappelle qu’il a ses lois et ses désirs.
Maître, je n’ai pas rêvé. Tu me l’as dit à demi mots à Noël. D’abord, à pastouchecartouche, des effleurements délicieux, à l’oiseau blanc, du rentre dedans musclé. Mais tu jouais… parce que tu te protégeais derrière elle les soirs où la lutte te semblait perdue d’avance ! Je n’avais personne pour surmonter la froideur glacée de ce monstre de jalousie. Mon amoureuse amie n’était pas avec nous. Les autres…envieux !! Alors je te regardais de loin faire comme si tout était normal alors que tu sentais sans doute la chaleur de mon regard sur toi.
Eloge de la fuite
Quand il ne peut plus lutter co/ntre le vent et la mer pour poursuivre sa route, il y a deux allures que peut encore prendre un voilier : la cape (le foc bordé à co/ntre et la barre dessous) le soumet à la dérive du vent et de la mer, et la fuite devant la tempête en épaulant la lame sur l’arrière avec un minimum de toile. La fuite reste souvent, loin des côtes, la seule façon de sauver le bateau et son équipage. Elle permet aussi de découvrir des rivages inco/nnus qui surgiront à l’horizon des calmes retrouvés. Rivages inco/nnus qu’ignoreront toujours ceux qui ont la chance apparente de pouvoir suivre la route des cargos et des tankers, la route sans imprévu imposée par les compagnies de transport maritime.
Vous co/nnaissez sans doute un voilier nommé « ….. ».
Henri Laborit
L’Ami c’est cette beauté, cette chance extraordinaire…
Pardonne-moi, je t’aime !
Avec toi je veux tout vivre ! Avec toi tout recommence !
La jeune angélique qui s’est offerte au couperet de l’implacable fatalité s’est brisée le cou sur les rocs tumultueux barrant le champ des possibles. Ô toi le merveilleux de la renco/ntre de toute une vie qui signe son arrêt de mort ! La résolue Sinéquanone avance et les vagues m’emportent, lâcher prise, la douceur de tes mains me guide dans les flots sablonneux, je ne vois que le bleu de tes yeux, une dernière danse, partir et fermer les yeux sur le présent & l’avenir de tant de désir, adieu ma beauté, adieu mon homme, à jamais pour toi, toujours toujours, ton souvenir m’accompagne et me berce d’une musique… Ô toi le bienvenu ! Ô toi le Robinson de mon île déserte… De radelozen…
C’est un co/ncours de pleureuses ? Qui est mort ?
Tu seras mon ultime folie. Tant pis si je m’y fourvoie. Cette fois je n’aurai plus la force de remonter. Tant pis j’ai trop lutté. Tant pis je rends mes armes et mes sanglots. Tant pis tant pis qu’un accident se passe, je me prélasse à l’ombre de ton amour que je suppose sans le savoir vraiment. Plus que quelques heures et je serai fixée. Entre les planches d’un cercueil. Fais moi une place…
Demain je t’aime. Hier je t’aime. Maintenant je t’aime. Mon mec à moi. Hasta siempre. Tu m’as bien fatiguée. D’ors et d’ours. Douce et dur. Dur et mousse. J’adore ta gueule de marin d’eaux claires. Ton regard de sapin.
La belle Pénélope a des allures de marchand de tapis et ça je l’avais déjà dit !
Ulysse a de grandes oreilles et resiste autant qu’il le peu au chant des sirenes à genou sur les planches de son bateau ivre des caresses des mugissantes déesses à la chevelure de feu, pas de quartier pour le maitre qui n’en a pas besoin pour monter à l’assaut des larmes qui transperce le coeur de ma retraite.
Où est la fée Clochette ?
Et même les débutants ! ah ah ah ah ah
Du fin fond de la fosse des Mariannes où sont tombées tant et tant de fois les roses au chant d’amour de ces messieurs…
Ils ont des regards lourds comme des reproches.
Ils ont des silences sourds à nos approches.
Ils ont une rose et n’en voient que l’épine (dorsale).
Ils ont nos remords secrets de vierges copines.
Ils sont ma dernière erreur
Ils sont mon malheur…
Jure moi que tu dis vrai. Ou laisse moi m’ouvrir non plus à toi mais aux sirènes de Méduse. Athena pétrifiée par Méduse, tu verras ça vaut le coup d’oeil ou de main.
Si tu me le dis bien, je serai fière comme un pape et humble comme un magicien. Fidèle comme une poupée et comme un chien. A genoux pour trouver le centre de ton axe.
Tous les amours se meurent Charlotte for ever ! ah ah ah ah ah
Ils ont des regards lourds comme des reproches.
Ils ont des silences sourds à nos approches.
Ils ont une rose et n’en voient que l’épine (dorsale).
Ils ont nos remords secrets de vierges copines.
Ils sont ma dernière erreur
Ils sont mon malheur
Pour toi je tuerai tous les autres.
Pour toi je quitte mes apôtres.
Pour toi si tu veux je ne crois en rien
Pour toi je te vois en tout
Il est mon ultime combat de phrases
Ne sommes-nous pas en phase ?
Il serait mon regret fatal
Il serait mon dormeur mais sans Val…
Il est mon souffle, ma demande, mon espérance.
Il est sans doute comme avant
Je ne le changerai pas et pourtant.
Je retrouve le goût de me battre
Co/ntre les femmes
Co/ntre les hommes
Co/ntre Dieu même… Ça vous étonne ?
Quand y a pas de boulons qui fixent !
Attends, je t’accompagne !
J’y croyais ! Le Zéro plonge dans les abîmes – Fin de transmission.
Difficile de co/ntrôler la dérive !
Y’en a encore une qui a pété un câble…
L’ennui c’est que c’est moi-même… shit !
Allô je suis là !
J’ai besoin de nyctalopus hotline…
Nan mais c’est pas drôle là !
Et t’étrangler avec ton string 🙂
Je vais me pendre avec l’élastique de mon soutien-gorge et c’est un Triumph !
C’était trop beau pour être vrai !
Ambre Grande Ourse… prête-moi ta plume pour pleurer…
… comme une girouette !
Le vent tourne…
Jamais comme moi !
Et merde ! Je viens de recevoir un co/ntre-ordre du Quartier-maître Chef :
, le marin ne reprendra pas la mer, ni la fille !…
shit shit shit & re-shit !!! P*t**n de b*rd*l de m*rd* fais ch**r
Hi hi hi !!! J’aime bien le ‘ta gueule petit homme’ , ‘on’ me l’a souvent dit 🙂
Oh ta gueule petit homme ! Qui te dit d’abord que c’est une femme et ensuite toujours la même personne hein ? Et puis je ne prends que les extraits qui m’intéressent, je cite : ‘Il paraît que mes doigts ont un brevet d’expertise’…
Des mois peuvent pour nous se faire l’éternité.
Bonjour cosaque coquette coquine 😉
Salut les gouines 🙂
… Ambre Grande Ourse !
Là tu m’intéresses…
Mamba ou Melba ? ;p
Il paraît que mes doigts ont un brevet d’expertise. Et ma pêche un feu qui attise.
Ni plus ni moins AGLO !
On peut même parler d’inflation et de lapsus…
Un fêlé de plus ou un fêlé de moins Hubert ne verra pas la différence 🙂
Il semble que je dérange. Je me tais jusqu’à ce que l’église de Venise sonne 6-1 4+1 2+3(deux plus toi). ¿Puedo soñar co/ntigo ?
Ni ange, ni démon avec encore un peu de niaque !
Tu mens-je mon ange ?
Il y a quelques semaines à Londres, s’achevait le 113ème & dernier co-ncert de l’ « Homo Plebis Ultimae Tour ».
Depuis 1973, avec le one dog show : « Comme un chien dans un cimetière », vous n’avez jamais cessé de venir toujours plus nombreux à ces renco-ntres.
Encore un grand merci à vous tous. Merci de votre fidélité.
Portez-vous bien.
HF. THIÉFAINE, 21 juillet 2013 (après j.c)
: je me porte.
Tout ce que tu veux…n’appartient qu’à tout ce que tu veux qui n’appartient qu’à ton toit.
Moi je t’offre un diamant brute et sauvage. Moi je te donne des fleurs qui se nouent dans un nuage, un orage. Pas si sage. Même volage. Je vous te co/nseille de me mettre tout au bout de ta cage.
… j’ai eu un demi-litre de solution saline placebo injectée dans le cul et je n’ai pas bavé. C/onclusion des psys : il n’est pas maso ! Ceci dit la privation de liberté m’en a fait baver sans salive…
Tiens en fait j’ai envie de c/ontinuer mes tours (de bras de toi) ce soir… A vous-toi l’honneur 😀
J’adore te dire v-v-v-ous. J’avoue j’en ai bavé pas vous…
Souvent femme varie fol qui s’y fie. Mon directeur de thèse m’a tutoyé et ça m’a foutu les boules. Je hais la hiérarchie.
Je dis oui oui oui et encore oui. Mais souvent femme varie. Bien trop c/o/n qui ose dire non en retour. 😉
Il va m’sauter et m’éclater le nénuphar qu’il a dit le Jules ! Putain j’en reviens pas… YES !
Je n’aime pas être vouvoyé 🙂 voyou voir un peu de bon sens 🙂
Mais bordel pourquoi vous ???!
C’est moi honey ? Parce que c’est pas moi 🙂
Allo honey ?
Et demain demain demain… La suite. T’as bien de la chance d’être doué, beau comme Zeus et Apollon, Vénus et Poseidon. En attendant d’autres mots que tu sélectionnes pour co/ntinuer le chess game. Voici le verdict : Trouve la force de t’opposer à moi encor, de me faire devenir chèvre, de m’emmener chez le sage du cor brisé. Je ne mentirai pas à toi. Privilège et sacrilège. N’oubliez pas chéri que je suis depuis l’Antiquité fine stratège.
Magique comme mes saints (facile hein)
Ton parfum, ta bouche, je n’en sais rien. Pourvu qu’il soit aussi puissant et magnifique que tes mains…
Alea jacta est !
Bientôt le verdict !
À toi !
Quelle dame ?
Mais à qui qu’elle cause la dame ?
Tu as le droit de te travestir.
Je mens bien quand je veux. Mais mes poèmes sont des voix qui souvent ne sont pas miennes. Ou qui anticipent mon futur… Qui matérialisent certaines peines amicales !
@ Jules César :
Hélas… cela fait longtemps déjà !
Tes yeux s’illuminent quelquefois et ta voix qui chante encore et tes mains et ton rire soleil de mes nuits… alors je n’y crois pas et mon désir le plus cher est de te ressusciter ! Laisse-toi ramener, laisse-moi t’emmener, à la vie, à la mort, avant qu’il ne soit trop tard.
Et ta tête est ta prison petit homme !
En poesie nous avons des droits sur les paroles qui forment et défont l’univers.
Ap….
Peux pas test. Romeo.
Où tu m’appelles d’un crénom
Maman ! Reviens, je suis parti(e) !
Maman ! J’ai froid à l’ectoplasme !
C’est une douleur écarlate
Mon vide saigne puis éclate.
Personne ne sait ton existence
Mort avant tout de l’errance
Que subit mon humanité.
Mais que serions-nous alors
Si j’avais été bonne personne ?
C’est un futur qui s’éternise
Pour un passé qui abandonne !
Avais-je déjà trop vécu
Avais-tu toujours lâché prise
Devant tes missions qui restent
Devant mon corps vaincu ?
Tu as oublié tes noms
Dans des limbes funestes
« Je n’aurais pas du t’attendre
Je n’aurais pas du boire
Je n’aurais pas du fumer
Je n’aurais pas du lui dire
Je n’aurais pas du avoir peur
Je n’aurais pas du tomber
Je n’aurais pas du prévoir
Je n’aurais pas pu t’élever »
Ma chambre est mon caveau.
Mon cercueil est mon lit.
Je le suis depuis 1993 !
Qui se situe ????
Pas besoin des gréements. Juste le vent des jeunes pousses et des folles passions de celui qui m’aspire qui me tire vers le profond de son cercueil.
Reco/nnais Jules que certains passages sont à mourir… d’ailleurs je meurs !
Suffit de demander 😉 c’est pas du travail petit homme. Que du plaisir. Que du désir. Que des marty-rs… Que j’ai blessée à coup de calligrammes du bel Apollon.
L’AGO c’est du pipeau encore une agrégé désagrégée !
La forme de ton coeur est chimérique
Et ton amour ressemble à mon désir perdu.
Ô soupirs d’ambre(!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Vois-tu, c’est bien plus beau que tes tous premiers cris de ces dernières nuits !
Si tu joues la corde sensible, je ne réponds plus de rien !
Me fuit
Reviens moi j’ai besoin d’entrelacer nos mains
Sans toi j’ai peur de tout d’aujourd’hui de demain
Sans toi je meurs de nous ton absence me blesse
Je me souviens vois-tu de ta belle promesse
« Je te veux…Te quiero » tu m’avais bien dit oui
Et ton ombre à jamais
Le vent qui me caresse est ton doigt sur mon bras
La nuit de mon délice se cache dans tes draps
Tu les as c/onvoqués les esprits millénaires
Vous m’avez invoquée je ne veux que te plaire
Que je suis comme toi mon amour tombé d’ange
Notre union est un cri qui sans cesse dérange
Le ciel noir lui seul peut réunir notre coeur
Sur le fil de l’image impossible mais multiple
Je te rendrai ma vie tu m’as créée au centuple
Tout mon corps pleure et tremble où je t’ai tant perdu
Dans les limbes du passé car je t’ai attendu
Ma douleur qui me fend qu’ils ne peuvent comprendre
Notre sang qui retourne où j’ai du toujours prendre
Le souvenir de nous et la douce senteur
De notre corps unique ivre de cette erreur
…Eluard !
Il y a les maquis couleur de sang d’Espagne
Il y a les maquis couleur du ciel de Grèce
Le pain le sang le ciel et le droit à l’espoir
Toi que j’aime à jamais toi qui m’as inventé
Tu chantais en rêvant le bonheur sur la terre
Tu rêvais d’être libre et je te co/ntinue.
Paul…
Je cite : ‘Il ne fait pas bien dire l’étendue du pouvoir de se mouvoir’… et moi je te dis que c’est l’expressive co/ndition de s’émouvoir qui donne toute sa beauté à… merde je ne sais plus ce que je voulais dire !
Et que dirait-il d’une peau de grisou ? D’une vague déferlante et lente ? Ça porte un nom joli joli mon gentil tsunami.
Si je m’émeus, je retombe dans l’enfance, si point d’émotion, kiki en panne !
Alors Pâris ? Tu ne ris plus de ta victoire ? Vérone-Nike. Qui porte le triomphe ?
Il ne fait pas bien dire l’étendue du pouvoir de se mouvoir. Je reviendrai narguer tes yeux…
… qui me semble être un début ou tout du moins une poursuite ou une tentative de recommencement !
Alors comme ça on veut jouer ? Quand Papa gronde… Si l’éclair luit en plein jour… Il résiste à toute nuit d’Amour. Toujours.
Vous n’êtes pas dans l’Agenda, vous êtes dans le mot de la fin…
Et oui, ça va encore sauter dans l’Agenda !
Encore une autre âme perdue, éperdue, dur dur pour moi qui n’ai pas la rime à ce tremblement de texte !
Tu voulais tester mes instruments. Je t’ai poursuivi comme un juge 😀 alors qui possède l’arme ? Moi la faucille. Toi le marteau. Moi la caverne. Toi le soleil.
Non, je ne me moque pas de toi petit homme, bien au co/ntraire…
Ils sont en train de dépasser la dose notifiée. Tant pis si mon coeur explose !!! Ce ne sera pas de joie en tout cas ! Peut être bien d’émoi et toi.
Je danse ton ab/solution. Je chante notre résurre/ction… Notre renc/on/tre sur le grondement souterrain de jeu, de nous, de vous.
Moques-toi pas d’moi l’amie !
Tu te moques encore de moi ?
Et pour vivre… mettons-nous par pairs & paire gagne. Voilà, le couple se forme, chut…
Tu me donnes faim sur cette planète fantôme, yumi…
Et en plus qui exhalent une odeur de fille du sud est… En exil !!!
Rondes comme la terre dont je ne suis pas revenue et juteuses comme un paradis d’enfant d’enfer. Miam non ?
Tiens ? Je ne c/onnaissai pas les poires de Lille !!!
Lille sublime la mienne. 😉
Poire, c’est mes préférés.
Il y en a peut-être un d’extraverti et l’autre introverti ? Coïncidence ? Oui, si le docteur a eu les deux mains occupées…
Ils sont extravertis ! Après avoir joué au docteur 🙂 Ainsi soit-elle !
, poils aus nichons extravertis ou introvertis 🙂
nb : de quoi réveiller le s….o qui sommeille
Laco/n a dit alors je dis en ce lundi :
je frustre
tu frustres
il ou elle frustre
nous frustrons
vous frustrez
ils ou elles frustrent
, ainsi soit-on ..
Aurait-elle voulu se servir de MMIBIS comme objet transférentiel ?
À te lire et t’entendre »En pleine nuit », tu éveilles là toute ma sympathie…
cf. les origines grecques de ce mot, puisses-tu aller de ton mieux Ambre Grande Ourse !
Et Ambre Grande Ourse est réapparue sous ce nom le lendemain du 28 février… … …
La mémoire est importante à tout âge alors je cite en lisant AGO :
– Marie
– poison trop étrange
– ange
, début 20011 je recevais un courriel d’une interlocutrice qui me disait en substance :
» vous lui direz à ce cher petit ange »
, …
En pleine nuit, je crie. Je pleure pour nous et nos lois à faire balancer le gibet de mon coeur. Mais mon unique philosophie que m’apporta la brillante Marie m’infecte d’un poison trop étrange : héra est tellement belle que je ne lui prendrai pas son ange. Héra est tellement sûre que je la laisse sans déchirure. Héra tu l’aimes et je ne brise pas de tendres poèmes. Nous sommes déjà si vieux mon bel amour, mon cher amour… Malheureuse que je suis. Me olvidaras. Avec le mistral, avec le temps. Je le fais pour toi.
STOP
Au passage à niveau il me faut reco/nnaître que j’aime le 22h58 !
On a le taf de commentaires, perdu en vol deux gravaterriens, roulage parking.
Merci Google parce que moi j’ai viré en 1ère S dans ma lointaine jeunesse 🙂
Il le faut encor amuser comme un enfant !
Je cite : ‘Il est mon unique caresse’… alors caresse-le bon dieu au lieu de hurler !
Merci beaucoup petit homme mais je ne vais pas encore me répéter…
Idem !
2 heures de cinéma et pas moyen de vous oublier !
Rien n’est jamais acquis aux hommes… Ni force ni faiblesse… Ni l’étoile qui brille pour leur yeux. Ni l’edelweiss qu’ils abandonnent pour un lieu. Ni le sommeil lorsqu’ils résistent. Encore moins l’Amour qui danse seule sur le tapis de lupanar de sa piste.
Le monde est vieux, dit-on : je le crois, cependant… Qui complète ?
Le pouvoir des fables. A m. de bas-rions fort ! Potence de l’innocence et légendes des Atrides. Pour lui j’ai tué toutes mes amours si anciennes. Que notre miel lunaire vienne. Je repousse le souffle putride. Du vent de ton pays je reste lucide. Il est mon unique caresse. Il reste ma seule faiblesse.
C’est qu’ils ont de la répartie les p´tits bô !
Mettez-vous bien en colère très trop cher. Comme vous le faites si bien !
Tu sais très bien que jamais d’autre…non ?
Trouve plus beau encore 😉
Ça dépend, smiley en colère ?
Si tu le sais alors… Larme de lune.
, moi je sais dire ton nom et tu le sais 🙂
:-&
, ni deux ni mètre mais 1,64m d’authenticité et je vous attends les nains de jardin 🙁
Je t’aime, et je t’attend…
Et le soleil se lève (aussi). Bises.
Le vent se lève… en version originale sous-titrée !
On le sait, c’est Jean-Pierre Zéni 😉
Et moi je n’ai d’yeux que pour un homme !
Je ne crois pas aux dieux, casserole que tu sembles, seule la flèche de cupidon pourrait s’en foutre. Bises.
Les Marquises… la 36 en service, je ne sais combien de nœuds de face…
Je me répète et j’y croâ mais ce n’est pas moi le corbeau qui veut faire chanter le maître… et je vous laisse, les chiens de la mêlée, à vos histoires alambiquées et tordues du c.l à la c.n et pour la reco/nnaissance il y a le miroir !
n.b : et la cure de désintox.
Finalement je préfère mon toc d’être ce que et qui je suis…
Que Dieu et sa colère s’abatte sur vous. Désolée.
Il y en a d’autres qui ne le sont pas… stabilisés !
echo
alias lumière palatine alias amour alias star mais je m’étais planté de mail dans le formulaire…
Allons, Ambre, Hubert n’est pas la seule solution à la c/onnaisance de deux personnes, il faut s’impliquer personnellement et savoir ce que nous sommes. Je suis schizophrène et fier de l’être. Stabilisé.
Tu chantais mieux que la toux des Dieux. Tu chantais comme un ange déchu. Tu savais ce que je te dois. Je sais depuis toujours ce que je te devais. Tu m’as appris le pouvoir des nombres et des mots. Et tu m’as tuée ! Crois-tu à la magie des l’armes de Marie ?
Mieux. Mais ma persévérance n’est pas récompensée :____( mon nom restera ton regret.
Ma Grande, voici mon refrain : tu fais grand bruit et chante comme une casserole…
Hubert et ta bonne éducation à la rescousse ?
Pas dans les paroles j’ai dit !!!
Ça progresse 😀
La rue barrée à Hambourg ? Lorelei ?
Cherchez du coté de la Germanie. Bien malin celui qui trouvera.
Je vis pas dans les chansons. Donc je mets Thiéfaine au défi : tu ne l’as jamais écrite cette chanson de véritable amour… Même pour tes deux fils. Même pour Lilith. Même pour toi.
…étymologie et thymologie de l’intime… La Grande Ourse : Ursa Major ou la grande casserole…
Je brise les blocs.
Tu débloques ?
Casino 😉 Pas mal 😀 mais jamais du niveau de La dèche… Le desespoir du loup qui appelle la lune est si b-b-b…merde j’y arrive pas. Bon un deux trois :BEAU !!!!!!!!??????!!!!
Je vous aide ? Cherchez dans les étoiles de l’etymologie.
Je suis l’été. Je suis le printemps face à l’hiver. Je suis la mort éclatante et toujours repoussée. Moi jamais je ne me regarderai devenir verte dans la glace. Ok ?
Vous noterez une faute unique volontaire !
Je dors aux milieu des murènes de Bashung…et des couleuvres de Léo…et des vipères des rois…des cobra de Thiéfaine. Méfiez-vous de la jeunesse et du courage des printemps insurgés. Qui saura dire mon nom ???
Faux !!! Ambre = elle-même…
Degemer mat.
Mes excuses Flo pas de c entre nous.
Ambre Grande Ourse = Florence Mareck
De plus je n’ai jamais été capitaine mais Quartier-maître chef de 1 ère classe !
Effectivement fredos tu n’es qu’un pseudo et un pervers !
Il y a eu méprise dans vos filets de la mer des Sargasses… je n’ai d’yeux que pour un solitaire de la Royale envers, et co/ntre tout & tous, lequel je suis et je demeure toujours loyale… d’où le risque de servir de pâtée pour les chiens.
Il y a eu co/nfusion.
Par amour on meurt. On a moins peut. On s’abîme mais ce qui ne me tue pas…m’a faite comme je suis. Valium Tranxène Nembutal… Xeroquel.
Ambre Grande Ourse est bavarde comme une pie et je n’ai pas pour habitude de fouiller dans le sac de ces dames 🙂
Arrange-toi petit homme avec la nouvelle qui vient de débarquer & vide son sac !
Je n’ai d’yeux que pour un solitaire et les bijoux sont si bien gardés que je n’ai pas encore eu le droit d’y toucher…
Par amour on se ruine oui !
Par a/mour on devient fou…
Par a/mour on se fait sage…
Philo-sophia !!!!
Par amour on devient fou…
Par amour on se fait sage…
Philo-sophia !!!!
C’est pas à toi que je parlais Charlie et sa drôle de dame…
Très chère Charlotte, la boite à bijoux est pleine à craquer !
@ petit homme :
Je ne rembourse que celui pour lequel je suis promise et engagée !
À toi fredos, je te parle à toi car ceci – Ma mère s’appelait Marthe, j’ai un parapluie non de Cherbourg et je ne monte plus la garde depuis bien longtemps, ni un quelco/nque autre gâteau – ce ne peut être que toi !
Et ça se traque dans les forêts jurassiennes de plume d’ange…
Je ne me sens bien qu’à la cave avec mes outils de bricolage et mon poste de soudure soudard.
Tu me rembourses, les ours ça vit dans les régions de l’est.
Alors remonte du 7ème sous-sol petit homme sans te casser la gueule dans les escaliers…
T’as pas dit zip !
Avec le zippo de je vous attends 😀
Ben si je l’ai pris, et cesse de m’embêter avec tes remarques stupides !
Et petit homme n’a pas pris son haldol semble-t-il…
Ambre Grande Ourse est complètement allumée !
Les fraises sont hors de prix, alors il faut les déguster lentement en mouillant les tétons, mettre du sucre dessus puis sucrer les fraises dessus !
Quoi Marthe ?
Mai joli mais qui est qui quoi ?
Je te parle à toi fredos, qui d’autre ?
(Marthe)
C’est de la sienne. J’avais pas choisi… Le phénix doit renaître de ses cendres !
A qui tu parles Charlotte je ne suis qu’un pseudo ?
Leurs histoires à la co/n ne me regardent pas, j’ai ramené ma fraise pour toi !
Essaie de trouver une prière dans la bible où il est écrit que c’est la faute à quelqu’un d’autre que toi, hé nouille !
Tu n’es pas petit car tu as pris ton haldol.
Oui !
Cela te regarde Charlotte dans la mesure où tu as ramené en ces lieux ta fraise.
C’est ma faute si j’aime ceux qui ont perdu leur Eurydice ? C’est ma faute si le plus Grand poète de l’ultime plèbe est parti pour sa dernière tournée ? C’est ma faute si je viens de la rivière qui nous sert de démarcation ? C’est ma faute si j’ai perdu certains héros ???!
Ma mère s’appelait Marthe, j’ai un parapluie non de Cherbourg et je ne monte plus la garde depuis bien longtemps, ni un quelco/nque autre gâteau.
Tant pis pour vous fils d’Orphée… Attendez-vous au déluge. Que l’orage de la relève éclate.
Copié-collé de la licence poétique de Flo, je te laisse la place !
Ces histoires ne me regardent pas.
Quand bien même je les entends…
IL est de ces destins que l’on aime malgré tout même s’ils paraissent aux improbables firmaments. Les poussières des sages & leurs philosophiques voix nous entrainent dans de complexes co.nsidérations qui n’auraient peut-être pas lieu d’être. Le sage est un fou qui s’ignore.
Tu veux la notice Flo ? Car je pense que pour ce faire tu t’y prends bien mâle…
n.b : pour la reco/nnaissance il y a le miroir !
ça se voit…
mal !
T’es bourrée ?
Je cherche la reco/nnaissance du Maître qui a écrit pour MOI Annihilation.
Les duettistes !
Tu cherches qui ? Tu cherches quoi ? Ambre Grande Ourse !!!
Pour ma part, je n’ai pas la grandeur, pas l’intelligence, pas l’expérience d’un co/nseiller maritime, je ne suis qu’apprentie au long cours… en cas de dommage collatéral il se peut donc très bien que mon poing final soit par co/ntre du direct !
Is back !
Non mais allô quoi… T’es un mec, t’as pas de refrain ? :p
Hélas, la fatigue et la lassitude, c’est pour les MORTS !!! Tu n’es pas parti pour les Champs Elysees à ce que je sache ? Allô, il suffit d’un coup de fil pour me faire dormir.
Qui donc pourra faire taire les grondements de bête ? Toi !
Les hurlements furieux de la nuit dans nos tête ? Mais toi encore purin de catin ! Alors réveillez-vous Esprit Brillant Bienheureux dans votre silence détesté !!!! Get up. Stand up. Now. C’est pas difficile non ???!
Si tu ne viens pas à Nuit d’Ambre, Charles-Victor ira à toi !!!!!!
Ou vont les… Où vont les rêves des aimants, des amants ? Que Dieu(=Satan en colère) nous guide. Si tu reviens juste une fois, pour rire, danser et chanter encore. Pour m’apprendre entre corps et vivants et morts… Alors alors alors…
Paris t’attend et je n’en dors plus. Tu vas me laisse brûler mes nuits de fièvres insomniaques, excès de mélancholie et nostalgie ? Prométhée, vilain voleur de feu, as-tu oublié toutes tes chansons ? Veux-tu que je hurle le lieu de ta retraite secrète ?
Bon alors, je teste la philosophie du retour du capitaine ? C’est grâce à lui que je suis général et amiral du bateau ivre :
-Ton intelligence
Est
Une suffisance
-Mon personnage
Est
Un mirage…
Bajo el lenguaje
Fuera de la realidad
Era una niña de palabra
Una pequeña pulga…
Y entre las tumbas
Caen los fantasmas
Viven esas sombras
…à jamais dans mon cœur… *
Bien sûr. Mais dans cette situation, ça a l’avantage d’être court, bref et co/ncis !
n.b : bonne journée Long John Silver, je t’embrasse…
, on ne dit pas être ‘ une toc ‘ Charlotte ! , nos longues discutions téléphoniques jusqu’à ce jour n’aurait-elles donc or ni car servies à rien ?
nb : sms ou téléphone car j’ai du boulot pou être à cette journée
Le message de 10h10 quant à lui n’est pas pour moi, je m’éclipse…
Doc, n’en profite pas pour avoir raison 🙂 C’était juste un extrait de chanson…
pour jouer la co/ntradiction.
Et attention, la Grande Ourse est redoutable pour un(e) toc, je me suis couchée tard !
@ Hubert :
, tu as écrit et chanté ‘ Annihilation ‘ bien avant ‘ Suppléments de Mensonge ‘( je me rappelle la 1 ère fois ou tu l’as ‘ testée sur scène ) et puis ce fil d’ACTUALITE :
………………… » LE MOT DE LA FIN » !
, en raccourci une question : as-tu encore FAIM ?
nb : en 1998 lorsque tu me parlais tu avais émis ta lassitude de chanter et ton envie d’arrêter de chanter, et puis il y a eu : la tournée Défloration 13, la Tournée en Solitaire, la Tournée Scandale Mélancolique, la Tournée Amicalement Blues, la Tournée Suppléments de Mensonge ..
@ Charlotte :
cit. ‘ Tous les amours se meurent* Ma Grande… ‘
, tu te trahis et tu me donnes raison 🙂
, sauf celui à la fraise ou à la framboise !…
Tous les amours se meurent* Ma Grande…
Virez-moi tout ça dans l’Agenda !
Merde alors y’a plus personne, elle allume et puis elle se casse !
Never finished. Never the end. No.
Les rendez-vous Ma Grande c’est plutôt dans l’Agenda, tu vas faire exploser le mot de la fin !
Ah non je n’ai pas ton numéro que je sache… tu tapes plus vite que ton ombre !
Moi j’aime Dieu… Juste Deus ex machina.
Si mes influences vous intéressent you have got my number.
Tu m’as l’air bien toute excitée… t’as pris du speed ou quoi ?
Vous savez qui je suis….. Je le laisse compléter 😀
Dis M.le chatloup, tu reviendras pour moi ?
Qui donc ? 🙂
Disons qu’il a une faiblesse pour moi;)
Arthur ne laisse personne passer devant !!!!
Encore moins à 17 ans…
Y aurait-il plus fou que nous… ? Il semble que oui !
On est pas sérieux les amis…
Alors, hft c’est qui le boss? Athena non ?
En plus vous remarquerez l’absence de lune cette nuit:p
Comment mon oeil a-t-il pu saisir
Ta fréquence haute à l’inaccessible ?
J’avais tes yeux de loup pour cible
Dans un éclair le feu de ton désir
A labouré mes gyrophares éteints
Tu restes le seul qui me comprenne
Sur le banc de toutes les étrennes
Que m’ont offertes les plus atteints
Ta place est vide depuis longtemps
Je t’ai souri pour que mes larmes
Enfouies au profond de mes drames
Ne t’effrayent pas toi que j’attends
Les nuits secrètes où nous parlons
Ne comblent plus mes espérances
Et je suis revenue de tes errances
Que mon regard hantait tout au long
Mon jardin n’est toujours pas apaisé
Tu le hantes en ombres de fantômes
Nous sommes nés d’un même atome
Ainsi ma pieuvre t’attire pour léser
Comme tu le sais sans trop salir
La pierre blanche stèle de ma tombe
Où le garçon trop souvent tombe
Je sais que tu peux me faire pâlir
Pour retrouver mon nombre perdu
Dans le vortex noir où tu m’emportes
Sais-tu seulement ce que j’apporte ?
Je te rendrai bien sûr ce qui t’es du
Un soleil qui sait renaître le soir
Une lune noire soeur de tes étoiles
Un sentiment neuf devant ces toiles
Une vapeur originelle d’encensoir…
Qu’il passe juste dire merci un jour s’il le veut… Ça me plairait tant et tellement… Par amour on fait revenir les morts.
Tous en même temps… Pour toi. Toujours pour lui.
Le grand Charles ? De Gaulle, Trenet, d’Orléans… Baudelaire !
Je t’avais dit que je te la rapporterai 😉 porte toi bien mon coeur de promesses. Je t’aime.
Le grand charles.
ET le soleil ce couche … mot de la fin ..
de ma journée ..
si si ya , y avait quelqu’ hein !!! Ahouu !!
non non
Ya quelqu’un ? Oh ! Ya quelqu’un –
merci pour tout et surtout merci!
Alors susan c’était toi ! On the road again…
Pour tout bagage on a vingt ans Merci .
Au re voir JLF
Il ne me reste plus que mon père et je n’ai pas trouvé l’âme sœur.
J’ai eu un père et il est mort et pas un noël !
Je remets mon commentaire de juillet qui avait sauté de la base de données… il détonne aujourd’hui !
Hubert, tu es le père d’une grande famille de doux dingues absolument pas paumés surtout quand il s’agit de répondre au rendez-Vous.
MERCI et portez-vous bien, vous aussi.
t fort
Bisous Hubert On T aime !!!
Pas mieux 🙂
Grosse canaille !…
petite canaille
😉
Non je vais au ciné voir un ami !… au moins de cœur et non de ..
Doc est si co/ntent qu’il fait des claquettes 😉
Merci fred, mais SVP attention à l’orthographe 🙂
😉 à nonoss
bonne fete monsieur hubert
secré Doc repondre a tout ca….?mais il le fait …merci et le dernier mot je suis pas sur qu’elle l’ est….mais i hope kel vivra autant ke moi….my dear….schizophréne moi? bon juste un peu alors…
@angéle si tu aimes tu as les codes……
C’est d’une autre fin, qu’il nous faut parler en ce jour … Celle de Lou Reed.
Une des dernières âmes sombres du rock … mais aussi une des influences d’Hubert s’en est allée.
La renco/ntre avec léo a été déterminante, dis-tu, Hubert…mais après avoir revu Brel sur scène en video , je vous trouve des points co/mmuns: don de soi dans l’interprétation+ exigence des textes+fidélité en l’amitié lors des épreuves de la vie+ » Merci pour ces 15 ans d’amour » lors du dernier récital// » mot de la fin »…et j’en oublie.
Ces deux artistes me bouleversent…
Je suis très à cheval là-dessus : Boréal, il te faut descendre encore de 6 degrés et je t’emmène au royaume des dieux !
Pas 72 mais 71 ans !
Il y en a certains qui doivent se tromper de site officiel ou alors ils ne savent pas compter… Alexander Shantilas, l’écriture aussi est à revoir, dans le fond comme dans la forme !
Mais enfin, cacher moi ce corps hideux! Comment peut on mettre en ligne le corps d’un homme de 72 ans. Suppléments de mensonge, et bien on nage dedans.
salut hubert
j’adore HFT, je l’ai découvert sur le tard grâce à mon amour…. nous sommes allés le voir à l’usine d’Istres l’automne dernier….. c’était fabuleux !! un homme cultivé, sensible, généreux, révolté, musicien génial, spectacle merveilleux….. MERCI.
Merci Hubert,
J’ai 50 ans et 30 ans de Thiéfaine au compteur.
Le jour où MCartney et HFTiéfaine s’arrêtent, j’arrête moi même d’écouter de la musique…….
« on pleure pas quand un train s’en va
on reste là sur le quai…on attend… »
…des nouvelles de notre poète- chanteur préféré…et on lui rappelle qu’on l’aime…
a quand une nouvelle tournée ?
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aller!
tros coll !Aller Thiefaine aller! tu es le meilleur aller!
La preuve des souvenirs d’outre-tombe de la morte amoureuse…
« Je ris merveilleusement avec toi. »
(Lettera amorosa)
« La femme vit en général plus longtemps que l’homme pour avoir là encore le dernier mot. »
de Jean Delacour
Qui donc ?
je t’aime toujours
nous languissons déja le prochain tour,nous y seront comme d’hab.
A plus!
113 comme cigarette sans dormir 14 juillet hub rend hommage a rintintin et les autres qui nous ont quitter et moi a mon loulou qui m’ont volé bien le bonjour a dole et porte toi bien hub
» Les matins bleus de ma jeunesse
S’irisent en flou multicolore
sur les molécules en détresse
dans le gris des laboratoires… »
me semblent d’une poésie exceptionnelle…
J’ai envie de les partager avec vous…
bonne journée!
Merci » Un Polair »…
J’ai envie de dire que le c.oncert de Nantes tourne en boucle dans ma petite auto du côté de Dunkerque…
Bonne journée !
Sois toi même et ne te tais pas 🙂
Bien sûr ! je suis un peu trop raisonnable…
Qui puis-je faire pour toi Angèle, te donner les codes » Autorisation de délirer « .
Je ne c.omprends rien à ce que je lis ici…c’est hermétique et je n’ai pas les codes…je dis seulement au revoir Hubert que j’apprécie tant…
Merci Doc et je vous attend ,traversons nos « désert » ensemble mais chacun de nos coté…..j’espère que tu/vous allez find et voila….
@Hubert :je ne t’idolâtre pas ,je t’aime tout simplement (et pas d’homo ére-ctus) hein..!Je garde ma bible (y’a pas que vous dedans,senser,shaka,bobs,cure,bitovent,etc etc) et je flanne (elle avec moi)
@Doc :I’am sorry but j’ai raté ton last but not least ouvrage mais je me rattraperai…merci encore….!
@l’artiste : Reims/rince/reins :tu l’aurais publié ou albumisé ce « nom/ville/organe »?
info les jeune, samyn, c est scorpion427, bof
cc
salut hubert, je cherchais de tes nouvelles, et je viens de lire ce petit mot! on t adore tous, bien que je deteste adorer 🙂 encore moins idolatrer.Mmais si je devais dire que j adore bien quelquns , ce serait bien toi et ton œuvre qui me berce depuis trentes ans. Amicalement, olivier, Dunkerque
Bonjour, monsieur Thiéfaine je m’appelle malorie j’ai 10 ans et je voudrais savoir votre numéro de téléphone, c’est pour ma maman qui vous aimes beaucoup . En espérant que vous lirez mon commentaire .
Malorie avec tout mon respect et mon admiration.
PS:j’adore votre chanson fiévre resurrectionnelle.
MERCI
@ karen et à Hubert qui me lira :
S’il se rappelle la première où je lui ai parlé il m’a dit ceci ; » ne me prend pas pour un gourou.. »
Tu veux en faire le théo de la bible de TON univers, pour moi il n’est gourou, ni théo mais 1 dans la ‘ cité ‘, comme toi & moi !…
Nous sommes les uns & les autres nos propres thé.ou café ..
@ nonoss dédé ;
, comme tu l’as vu je n’ai pas besoin d’être lavé de mes oripeaux.
C’est moi qui lave et essore gratis !…
p.s : je te reprends exceptionnellement en co/nsultation ..
Ouaih je me pose en vol stationnaire et je mate çlic clic ….sphinx…!!!!!! ouaouaouah lool…….taré va ke nous sommes……!
Bonjour a tous/toutes et a toi mon Doc……..Ta poignée de main fût très très bénéfique et une petite visite a l’hopital le plus prôche ne serait pas de trop……;-) let’s go to the lave vaisselle……
Tu n’es pas fou, » le fou »…! c’est chouette pour ceux qui pourront aller à la fête !
Soyez sympas, mettez-nous la video sur you tube, si vous le pouvez ! y en a des qui ne pourront pas être là !
Hubert est annonce au zenith le 10 octobre pour les 20 ans de taratata!!
L’Artiste certes, l’album un peu moins ! mais très bien écrit ! & et une tournée pro !
mes années lycée, accompagnées des tes chansons, sont passées,
je t’ai laissé Sortie Sud, bien alambicé
je te retrouve en pleine forme avec un plaisir immense
« suppléments de mensonge » est de toute beauté
Merci
, pas de Pan !
Question de principe !
et comme beaucoup ? je ne voudrais pas que le voyage s arrete en pleine ascention il n est plus seul
une generation crois en ce qu il fait
et m a empeche de tomber . les fils du coupeur de joint sont la
ca fais depuis l age de 14 a ( j en ai 38 ) hubert m a donne une force de vie qui n a aucun egaux et je pese mes mots
si c est la fin il faut le laisser faire il nous a laisser des chansons qui pourrons nous aider a assumer la vie et ces maux
meme si ……..
@ HB :
J’espère que tu as bonne mine. La pierre la plus ‘ précieuse ‘ ( entre opale et diamant ) est celle que je co/nstruis avec mon ami Jean tous les jours que je fais.
J’y retourne ..
, …
Question de dureté m’avait dit une maîtresse : 10/10 Doc et quand on est petit on peut toujours essayer de gravir quelques barreaux sur l’échelle de Mohs.
@ nonoss dédé :
1) je ne suis plus sur face book
2) j’espère qu’il est dans ses pompes, et je ne serre la taille que de mon crayon mais uniquement pour la prostate !
😉
🙂
bandes de chameaux!!!!!
Salut Doc je suis de retour pour t’asticoté ou pour me faire asticoté…..Dis moi si tu sais ou il se cache en ce moment….?Et serre lui la taille pour moi….Bises a plus
Accélérez le à g
L’énergie potentielle ne se dégraderait-elle pas de la même manière que l’énergie cinétique sous forme de radiations ?
Bonjour a tous…..
HFT quel bel homme…..je vous invite a visité mon profil Fesse bouc…..merci a tous…..
@daniel
je trouve aussi que » l’étranger dans la glace »est d’une grande pudeur… »les matins bleus de ma jeunesse s’irisent en flous multicolores… »superbe de décence et de poésie…
Je ne suis que gadoux , et j’ai l’immense privilège d’avoir été immortalisée par HFT qui a la nostalgie de la gadou!!!
Merci Hubert
La jambe de Rimbaud et l’Etranger dans la glace sont mes préférées. Celle la m’accompagne quand je visite ma grand mère qui a Alzheimer.
@ gadoux :
, as-tu un lien avec la sorcière ‘ gadoux ‘ ?… moi je suis un gars dur 🙂
Merci l’Artiste avec un grand A pour tous ces merveilleux moments !
Pas moi !
Une question aujourd’hui chez Nagui (Tous le monde veut prendre sa place) évoquant Thiefiane et sa chanson » Affaire Rimbaud »…Que du bonheur d’entendre son nom.
Hubert ne peut soupçonner quelle importance il peut avoir…à quel point il peut me sortir du banal quotidien…
Je réécoute « Suppléments de mensonge »… »Et le soleil se lève… »
« Trois poèmes pour Annabel Lee »…Magnifiques !
et je dirai, une fois de plus, mon admiration et ma gratitude…
« Pulque… » devrait être rec.onnu remède anti-stress !
Tu veux dire plutôt placenta féerique…
Merci
Merci à toi pour toute cette énergie que tu nous diffuses
Je t’attends dans ton plasma féerique …
A bientôt, j’espère …
Merci…
« Absolutamente »!!!!!!!!!!
« Que viva mexico ! Caramba ! »
@ Annabel- Lee
Tu as raison : la chaleur de l’été nous fait chanter le CD de 95…à fond dans les jardins ! « Pulque » me donne la pêche et m’a ramenée » En dessous du volcan » à suivre le C.onsul et Yvonne dans ce » chagrin des glandes »…
« Absolumente necessario ! »
Qui ne lit plus sauf ses livres non sterling pense en te lisant Annabel-lee au Delta sur lequel j’ai dérivé il y a quelque années !
, et maintenant je change de chaine car les hyènes ..
Chaud l’été ! 1 bonne dose de « Pulque, Mescal y Tequila » , plein volume ! Borracho !
…et dans les pauses on laisse les mouches (qu’on aime aussi) danser leur Brown Sugar….
tandis que ce soir « la lune s’attarde au-dessus des collines « …
Le Gorille* !…
* G.Brassens
Si on faisait un bouquet de nos chansons préférées pour l’offrir à notre Hubert?
En ce moment, chez moi, ce serait » C.onfessions d’un never been »…
même si ça vous semble potache, qui ose c.ontinuer?…
Le mot de la fin : à table !
Merci à jean Théfaine d’avoir tant aimé Hubert et de nous en avoir si bien parlé.
Merci à vous pour tout ce que vous avez partagé et donné.
C’est nous qui vous remercions. La première fois que je vous ai entendu c’était dans une SIMCA qui m’emmenait au lycée, il y a de cela une bonne trentaine d’année. Mon plus beau souvenir, Bercy 1998 quand vous vous teniez à mes côtés avant de descendre pour « Mathématiques Souterraines », souvenir très spécial car quels mois auparavant il y avait eu le décès de mon frère. Alors encore un grand MERCI à vous Monsieur THIEFAINE. A bientôt, peut-être…
, il y avait un virus !…
Ben, heu ? Y a plus de forum ?
Moi qui écoute hft depuis le début, je me réveillerais après la bataille ?
Bon, ok
Cela est de votre choix et de votre ressenti michèle, donc de votre légitimité 🙂
n.b : je suis pas un travestisseur de la réalité, ce que j’aimerais parfois pouvoir faire pour » l’autre » mais non pour moi !…
…mais je préfère toujours le poète ! ( c’est plus fort que moi !)
Impressionnant !
Merci de ces précisions…
Le poète n’a pas toujours raison , Ombre et Lumière !…
n.b : le dossier est un peu plus épais et pittoresque ..
10) au printemps des poètes 2008 l’erreur de gravage est enfin rectifiée !…
9) présion de Monsieur Jean-Pierre Zéni sur une modalité différente !…
8) toute cette affaire sera suivie par Melle Siaba ( sécrétaire charmante et efficace ) 🙂
7) après 1 an et 3 mois les travaux n’étant pas effectués Monsieur Zéni relance Madame Françoise Charlier par courrier en date du 14 janvier 2008 ( en R.A.R ) ..
6) mail de Monsieur R.STEVENIN, adressé à Monsieur Jean-Pierre Zéni, qui précise faire le nécessaire et qui aurait plaisir à le renco/ntrer ..
5) courrier de réponse de Monsieur R.STEVENIN ( Adjoint à la Culture ) adressé à Monsieur Jean-Pierre Zéni le 13 octobre 2006 ..
4) réponse de Madame Françoie Charlier en date du 3 octobre 2006 dans laquelle elle qualifie Monsieur Jean-Pierre Zéni » d’initié » !… , en lui précisant se tourner vers les services co/mpétents pour faire rectifier ..
3) lettre de rappel adressée ( en R.A.R ) le 2 octobre 2006 à Madame le Maire ..
2) lette adressée ( en R.A.R ) le 25 septembre 2006 à Madame Françoise Charlier Adjointe au Maire, Chargé de la Citoyenneté ..
1) Monsieur Tourneux Co/nservateur des Musées à Charleville-Mézières .. ( au téléphone ) ..
… Ce co/nstat visuel a eu lieu le demain du co/ncert en présence de son amie Clotilde Trompette.
… Ce fût le début d’une longue négiaciation avec :
… Effectivement il s’agit de la mère d’Arthur Rimbaud, la Mother comme il l’appellait.
…Celui qui a fait rectifier cette erreur s’appelle Jean-Pierre Zéni et tiend à votre disposition le dossier relatif à cette affaire suivi depuis son co/nstat visuel après le co/ncert au Cabaret Vert du 3 septembre 2006.
@Vitali(N)e
Excuse-moi…Seule la mère de Rimbaud a pu porter ce prénom, par erreur…et il a fallu qu’un autre poète passe par là pour lui rendre son prénom…
Je me fiche de chabada mais , au moins, elle invitait Hubert…Nagui aussi…
… tarata michèle ma belle, pas plus de Chabada-bada-Wouah !
Je viens de revoir et écouter » la mémoire et la mer » ( Chabada ). Hubert est bouleversant…pas seulement l’interprète…l’homme aussi…
Alors, je vais « respirer par le diaphragme »…une fois de plus !
PS non à la disparition de Chabada et de Taratata !!
, respire par le diaphragme michèle 😉 .. elle n’est surtout pas son frère je peux te l’affirmer 🙂
Vitalie, soeur de Rimbaud , je reste perplexe…
Ma belle ( sont des mots qui vont très bien ensemble.. ) Rimbaud n’a plus besoin de dialyse !…
Un jour, Rimbaud…
tu l’as dit Sandrine.
Un adieu tout en discrétion et en sobriété…
Vous nous accompagnez depuis tellement longtemps qu’il va forcément y avoir un manque. La première fois que je vous ai vu sur scéne, c’était il y a 24 ans. Depuis, j’étais présente sur plusieurs dates à chacune de vos tournées…cela a fini par en faire quelques unes!
Une page se tourne, mais je ne doute pas que vous saurez bien remplir la suivante. Profitez en bien.
Merci.
on n’arrête pas d’écrire la même chanson*…
« Mot de la fin » ( d’une tournée?…des tournées ?) 1973-2013…113éme c.oncert… »ultimae tour »…tendresse pour nous, son public, le jour de son anniversaire…Je ne suis pas la seule à m’interroger…à craindre…
Pourtant, Hubert est au mieux de son écriture et de sa voix et son public est de + en + important…
Mais il est un homme libre et c’est ainsi que nous l’aimons…
Nous attendrons de ses nouvelles…
hft arrete donc ?
@ Angèle :
met des gants !
Selon Pierre lemarquis ( Sérénade pour un cerveau malade ) les chansons que nous nous plaisons à écouter sont celles avec lesquelles nous sommes en harmonie parce qu’elles ont une résonnance mystérieuse.
Celles que j’écoute et écoute… sont la plupart de celles que vous chantez, Hubert …alors, merci de ces cadeaux magnifiques !
C’est nous qui te remercions pour tout les instants de bonheur et de plaisir que tu nous offre depuis plus de trente années pour ma part. UN TRES GRAND MERCI A TOI, et que tu puisse nous en donner encore beaucoup.