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HFT – Poésie souterraine

En juin 2015 avait lieu à la Maison de la Poésie de Paris un colloque organisé par l’Université de Cergy-Pontoise pour discuter de l’écriture poétique d’Hubert Félix Thiéfaine.

Les actes du colloque sont désormais disponibles.

HFT – Poésie souterraine

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Voir les 109 commentaires
  • le Doc. / Jean-Pierre Zéni
    31 août 2020 à 09:45

    , je m’y suis rendu en RETENUE pour Isabelle Guilloteau et ce à la demande d’Arwan son compagnon 🙂

  • Spountz
    13 juin 2017 à 11:49

    Il n’en sera pas mais son équation neuronale y sera 😉

  • de passage
    28 avril 2017 à 16:03

    @ Emmanuel :

    Il y manque surtout un pivot majeur de son œuvre ! de plus ce colloque fût surtout le bal des égos ! et des fainéants 🙂

  • Emmanuel Chabrier
    28 avril 2017 à 09:18

    Je viens de lire Poésie souterraine et je trouve qu’une thématique centrale e l’écriture est étrangement absente ; le cheminement souterrain décrit de nombreuses fois débouche de façon souvent logique sur des formes de retour à la vie et de résurrection ; Thiéfaine réveille régulièrement le phénix qui est en chacun de nous. Insister sur les blessures de la vie qu’il signale et souligne, c’est oublier que chaque album est autant la célébration permanente de ce phénomène. De plus je trouve qu’il y a une survalorisation des 1ers albums (Jusqu’à soleil) et des deux derniers qui contraste avec une faible prise en compte de la période de presque 20 ans qui sépare ces deux époques et qui ne peut être comptée comme une simple transition et un simple passage tant on peut y trouver des formes d’expérimentations très personnelles et qui constituent au moins autant des jalons significatifs de sa construction poétique.

  • sacchet
    26 avril 2017 à 19:55

    salut hubert, je t invite a me rejoindre au portugal a fatima pour les 100 ans de la 1er apparition de la sainte vierge, je serais devant le mur de berlin sur lesplanade de fatima le 13 mai a 13h voici mon numero: 06.02.25.57.90
    merci aux moderateur de faire passer ce message

  • Doc
    18 avril 2017 à 20:57

    Fais pas ta cruche Mme Pich 😉

  • madame Pich
    18 avril 2017 à 20:38

    Arrêtez un peu ce foutage de gueule !

  • karen
    18 avril 2017 à 19:38

    En effet, je m’appelle Pascale Piche, Piche Piche Piche 🙂

  • Spountz
    18 avril 2017 à 14:20

    Encore une mauvaise pioche 🙂

  • karen
    18 avril 2017 à 12:57

    Désolée Doc, j’ai manifestement effacé ton n° de ma mémoire, rappelle le moi !!!

  • Spountz
    18 avril 2017 à 11:15

    Je confirme !

  • visiteur
    18 avril 2017 à 11:09

    Il est vrai !

  • visiteur
    18 avril 2017 à 11:07

    Pas bien de mentir. Madame karen ne s’adresserait pas ainsi au doc, elle lui téléphonerait directement ou lui enverrait un sms, ou bien lui écrirait.

  • karen
    17 avril 2017 à 22:09

    Je t’appelle ce soir Doc 😉

  • Doc
    15 avril 2017 à 16:53

    .T’as raison Karen, je ne me dévoile pas assez…

  • Doc
    15 avril 2017 à 16:50

    Moi aussi je fais un test d’identité 🙂

  • karen
    15 avril 2017 à 11:47

    test d’identité

  • Le Doc.
    15 avril 2017 à 11:39

    @ karen :

    , relit mon 1er. livre si tu l’as conservé et téléphone moi 🙂

  • Karen
    15 avril 2017 à 11:31

    « l’homéostasie, depuis que ce concept a été créé par Claude BERNARD (1813-1878), précisé par Walter Bradford CANNON (1871-1945), étendu par Norbert WIENER (1894-1964) et William Ross ASHBY »

    CECI N’EST PAS UNE RÉPONSE VENANT DE TOI. Donc cela ne répond pas plus à ma question. Mais ce n’est pas grave.

    Bonne journée.

  • Le Doc.
    15 avril 2017 à 09:32

    @ pour karen :

    De l’homéostasie

    L’homéostasie, depuis que ce concept a été créé par Claude BERNARD (1813-1878), précisé par Walter Bradford CANNON (1871-1945), étendu par Norbert WIENER (1894-1964) et William Ross ASHBY pour donner la cybernétique, se révèle fécond dans l’explication de l’existence biologique et peut-être dangereux dans la compréhension de la vie sociale. Claude BERNARD, en 1865 (Introduction à l’étude de la médecine expérimentale) crée ce concept de milieu intérieur et d’équilibre à l’intérieur de celui-ci : « Tous les mécanismes vitaux, quelques variés qu’ils soient, n’ont toujours qu’un but, celui de maintenir l’unité des conditions de la vie dans le milieu intérieur » et Walter Bradford CANNON forge le mot homéostasie à partir des deux mots grecs stasis (état, position) et homolos (égal, semblable à) en 1926 (The Wisdom of the Body) : « Les êtres vivants supérieurs constituent un système ouvert présentant de nombreuses relations avec l’environnement. Les modifications de l’environnement déclenchent des réactions dans le système ou l’affectent directement, aboutissant à des perturbations internes du système. de telles perturbations sont normalement maintenues dans des limites étroites parce que des ajustements automatiques à l’intérieur du système, entrent en action et que de cette façon sont évitées des oscillations amples, les conditions internes étant maintenues à peu près constantes (…). Les réactions physiologiques coordonnées qui maintiennent la plupart des équilibres dynamiques du corps sont si complexes et si particulières aux organismes vivants qu’il a été suggéré qu’une désignation particulière soit employée pour ces réactions : celle d’homéostasie ».

    Ainsi la notion d’homéostasie se réfère fondamentalement à celle d’un état stationnaire de processus stabilisés par la coordination de mécanismes physiologiques (mécanismes auto-régulateurs), et qui permettent à l’organisme de maintenir son intégrité fonctionnelle dans des environnements, interne (milieu intérieur) et externes fluctuants. Pour éviter toute dérive dans un premier temps dans la compréhension du phénomène, nous pouvons définir l’homéostasie comme l’état d’un système en fonctionnement dans une situation de déperdition minimale d’énergie.

    Pour rester dans le domaine de la biologie, ce concept est étendue ensuite du niveau cellulaire au niveau des populations cellulaires. L’homéostasie du milieu intérieur se compose de systèmes de régulation de la pression artérielle, de la masse sanguine, de concentrations de substances nécessaires à la vie (pH – mesure de l’acidité du milieu, pression d’oxygène et de gaz carbonique…).

    L’organisme est un système qui ne trouve son équilibre dynamique que grâce à son ouverture sur le monde extérieur, c’est-à-dire grâce à sa vie de relation qui intègre fonctions nerveuses et fonctions endocriniennes. Les systèmes nerveux diencéphalo-limbique, hypophyse-glandes endocrines périphériques, glandulaire, tous reliés entre eux fonctionnent de manière à ce, à chaque instant, par l’intermédiaire des afférences somesthésiques et viscérales, grâce à des cellules réceptrices hypothalamiques (sensibles à la températures, à la pression osmotique, au pH, au taux de glucose, d’androgènes, etc), l’ensemble hypothalamo-limbique (du cerveau) centralise les informations venues du microcosme individuel par voie « nerveuse », c’est-à-dire rapide, et préside aux modifications nerveuses et endocriniennes qui, faisant une large part à l’autonomie des mécanismes périphériques, assurent l’homéostasie. Quand celle-ci devient impossible à maintenir en « cycle fermé », les déséquilibres enregistrés président au déclenchement des séquences comportementales – quête de nourriture, par exemple. A l’inverse, le système hypothalamo-limbique apporte les afférences (olfactives, optiques, auditives…) du monde extérieur. Ces afférences convenablement stockées, mémorisées (rôle du système limbique et des hippocampes), vont associer le possible et le souhaitable, et conduire aux « comportements instinctifs » à partir d’un schéma initial inscrit dans l’anatomie des neurones, par le jeu des renforcements, des inhibitions et d’un véritable conditionnement opérant. (Jack BAILLET)

    Dans Biologie et structure, Henri LABORIT résume cette conception du fonctionnement d’un organisme et souligne que la finalité d’un être vivant est toujours le maintien de se structure complexe dans un environnement moins complexifié. « Or, la simple excitation, c’est-à-dire le seul fait pour lui de subir l’apport d’une énergie extérieure sous une forme autre que celle élaborée des substrats, constitue déjà une tendance au nivellement thermodynamique, et l’on constate une déstructuration des protéines par rupture des liaisons hydrogène : déstructuration réversible dans l’excitation, alors que dans l’irritation et la mort elle est irréversible. C’est entre les deux que se situe l’état physiopathologique, la « maladie », mais il est bien difficile d’en définir les frontières, car à notre avis, ce sont des frontières temporelles. »

    A l’échelon cellulaire, les processus métaboliques oscillants, extériorisés par les variations du potentiel de membrane, permettent à l’être unicellulaire de maintenir son autonomie dans le milieu environnant. Ces variations oscillantes du potentiel de membrane se situent à l’échelle du temps de la milliseconde. Toute variation qui tend à se stabiliser ou à utiliser une période plus longue peut être alors considérée comme pathologique. « S’il est alors possible de définir peut-être une frontière temporelle entre physiologique et pathologique, les variations qui mèneront du pathologique à la mort sont si progressives qu’il est par contre pratiquement impossible d’envisager actuellement une limite entre ces deux derniers états, alors que le rôle du biologiste est justement de tenter de faire reculer le second à l’avantage du premier. »

    « A l’échelle des êtres pluricellulaires et particulièrement des homéothermes, la limite entre physiologique et pathologique est pareillement temporelle. la réaction stable aux variations de l’environnement en est la plus limpide expression. Cette réaction (…) rend possible la fuite ou la lutte. L’homéostasie (…) est alors gravement perturbée, comme l’objectivent par exemple l’abaissement du pH, l’hypoglycémie, l’hypercoagulabilité, l’hyperadrénalinémie, ect. Les organes hypovascularisés vont souffrir. Mais la fuite ou la lutte rendues possibles permettront, en supprimant ou évitant l’agent d’agression, le retour à l’équilibre physiologique normal. La finalité de l’organisme, à savoir le maintien de ses structures, sera donc observée. Mais à une condition, c’est que la réaction à l’agression soit efficace. Car si elle dure, la mort des organes momentanément sacrifiés sera cause de la mort de l’organisme entier. Là encore nous constatons que les réactions oscillantes passent du physiologique au pathologique d§s que s’installe un état stable. Les régulations en « constance » deviennent des régulations en « tendance ». Du moins doit-on précisément envisager le produit de l’intensité par la durée de la réaction, ce qui nous amène à concevoir une « quantité réactionnelle » et nous oblige, pour l’organisme entier comme pour la cellule, à l’envisager sous forme d' »énergie », de même que c’est une énergie de l’environnement qui la provoque. Puisque nous arrivons à cette conclusion que le temps joue un rôle considérable dans le mécanisme de la maladie, et qu’il s’agit d’un temps lié à la vitesse des processus enzymatiques, on est évidemment conduit à penser que l’un des aspects de la thérapeutique préventive est le ralentissement de la vitesse de ces processus, ce que réalise l’hypothermie. ce sera aussi de tempérer la réaction nerveuse et endocrinienne, en particulier vasomotrice, qui a conduit au « changement de programme », ce que nous réalisons par la « neuroplégie » ».

    Dans La nouvelle grille, Henri LABORIT précise qu’il a été contraint depuis longtemps « de distinguer une homéostasie restreinte au milieu intérieur dans lequel baigne l’information-structure de l’ensemble cellulaire de l’organisme et une homéostasie généralisée de cet ensemble organique qui peut parfois exiger la perte de l’homéostasie restreinte. C’est le cas lorsque la fuite ou la lutte mises en jeu et permettant la sauvegarde de l’information-structure générale exigent (….) un sacrifice temporaire de l’approvisionnement énergétique de certains organes ne participant pas directement à ce comportement. Si cette réaction dure, du fait de son insuccès à écarter le danger menaçant, l’information-structure elle-même peut en souffrir et l’on voit survenir un état de choc et la mort. Ainsi le milieu intérieur, matelas liquide qui sert d’intermédiaire entre les variations survenant dans l’environnement et l’information-structure cellulaire, est le lieu de passage que traverse la matière et l’énergie dont cette dernière a besoin pour subsister. C’est aussi le lieu où ses produits de déchet transite avant d’être excrétés dans l’environnement. A l’état physiologique, l’information-structure cellulaire, par d’innombrables feed-backs et boucles de servo-mécanismes, assure la constante de sa composition. A l’état d’urgence, elle sacrifie momentanément cette constance à la fuite et à la lutte. Cette constance peut se rétablir si celles-ci, victorieuses, parviennent à écarter le danger. Si l’état d’urgence persiste on peut pénétrer dans un état pathologique où l’information-structure elle-même est endommagée, soit de façon aiguë, soit plus lentement avec apparition de lésions chroniques qui siègent préférentiellement au niveau de organes sacrifiés par la réaction organique à l’agression. L’homéostasie ne peut donc plus être considérée comme la tendance à maintenir constantes « les conditions de vie dans le milieu intérieur », mais comme celle à préserver l’intégrité de l’information-structure de l’organismes ; parfois grâce à la constance des conditions de vie dans le milieu intérieur, parfois aussi par l’autonomie motrice de l’ensemble organique dans l’environnement, mais aux dépens de la constance des conditions de vie dans le milieu intérieur. La finalité reste donc bien la même, la conservation de la structure, mais le programme utilisé pour sa réalisation peut changer et les moyens employés aussi. »

    Ce qu’il faut retenir de cet exposé, très lié aux recherches du professeur de biologie sur les processus de l’anesthésie et de la réanimation, c’est la nature de ce concept d’homéostasie. Le jugement de valeur généralement sous-entendu que cet équilibre est un état favorable à rechercher fait passer facilement ce concept du physiologique au psychologique et à la psychophysiologie. Les recherches sur la douleur, au départ processus physiologique pour toute structure biologique puis prise de conscience, grâce au perfectionnement du cerveau humain, de cette douleur, amènent à s’interroger sur les frontières entre le souhaitable, le normal, le pathologique… Le glissement des réflexions sur la douleur, du niveau physiologique au niveau psychologique, fait envisager le concept d’homéostasie, sous l’angle sociologique. Des auteurs peuvent être facilement tenter d’élaborer toute une réflexion auteur de la notion d’homéostasie sociale, en considérant le « corps » social par analogie au « corps » biologique, ce qui inévitablement conduit à (l’explication ou à la justification) de conceptions conservatrices. Déjà dans les écrits de Konrad LORENZ, l’usage de la notion d’équilibre, définie pour les comportements instinctifs des oiseaux et des poissons, légitime si l’on ne dépasse par le cadre de la biologie, devient extrêmement délicat pour l’explication de comportements complexes dans les sociétés humaines.

    Pour en revenir à la biologie, depuis les études de Walter Bradford CANNON, la notion d’homéostasie a été étendue au développement embryonnaire et aussi aux populations, considérées comme des organismes doués de propriétés auto-régulatrices : homéostasie écologique, sociologique ; l’homéostasie génétique (LERNER, Genetic homeostasis, 1954) est définie comme la capacité des populations mendéliennes (ou des espèces) de maintenir la stabilité de leur pool génétique face à des causes de perturbation. En maintenant la stabilité des génotypes, et donc des phénotypes, l’homéostasie génétique assure la pérennité des espèces. Elle est une conséquence de la sélection naturelle qui favorise les phénotypes hétérozygotes, de valeur adaptative supérieure à celle des homozygotes. (Charles DEVILLERS).

    Patrick TORT met en garde contre le fait que l’homéostasie suscite une imagerie finaliste, qui « transparait dans des analogies à vocation didactique dont il est couramment fait usage pour assurer sa représentation. Ce phénomène a été mise en lumière et étudié dans ses conséquences par un groupe de pédagogues (E. RESWEBER, M MISERY, Philosophie. Méthodologie en classe de Première. Sciences physiques. Sciences naturelles. Rapport d’expérience de l’enseignement de la philosophie en classe de Première, Bouaké, mai 1981) dans le cadre d’une expérimentation conduite à partir d’un texte extrait de La biologie moderne de Towle, et de sa critique. »

    L’auteur de ce manuel écrit « On retrouve l’homéostasie à tous les niveaux de l’organisation des êtres vivants. » Depuis la cellule jusqu’à la biosphère, l’existence d’équilibres dynamiques auto-régulés permet des dérives analogiques de niveau en niveau. Il est certain que la genèse intellectuelle de la théorie sélective chez Darwin ne pouvait se concevoir sans un passage obligé par une explication des équilibres naturels. Dans un autre registre, l' »hypothèse Gaïa » de LOVELOCK, macro-organicisme cosmique ayant permis d’élaborer de nombreuses oeuvres de fictions par ailleurs passionnantes, n’est, sous ce rapport, rien d’autre que le report à l’échelle planétaire du concept extensif d’homéostasie. Si la rigueur scientifique et didactique souffre de tels glissements, l’imagination, sans doute, y trouve son compte, et une rétroaction « positive » sur l’invention d’hypothèses éventuellement fécondes n’en est pas radicalement exclue, sous la condition de validations restreintes ultérieures. Il n’en est pas de même, cependant, lorsque cette imagination porte sur les phénomènes sociaux et que rapidement, trop rapidement, la notion d’homéostasie y est appliquée. En mettant cette réserve toujours à l’esprit, la connaissance scientifique obéit, de même – c’est là, donc, une hypothèse – à des mécanismes oscillatoires analogues de part et d’autre d’un axe d’objectivité – d’où sa démarche indéfiniment corrective (TORT, La raison classificatoire, Aubier, 1989). Il est possible à l’épistémologie historique de mettre en garde contre les écarts de ce mécanisme – extrêmement dommageables encore une fois sur les faits sociologiques – mais, c’est généralement la science elle-même qui procède à ces réajustements (ce qui constitue une réflexion optimiste).

    Charles DEVILLERS, Patrick TORT, dans Dictionnaire du Darwinisme et de l’évolution, PUF, 1996 ; Henri LABORIT, Biologie et structure, Gallimard, collection Idées, 1968 ; Henri LABORT, La nouvelle grille, Robert Laffont, collection Libertés 2000, 1981 ; Jack BAILLET, Homéostasie, Encyclopedia Universalis, 2004.

    , il n’est jamais trop tard pour apprendre karen !…

  • Karen
    15 avril 2017 à 00:56

    Vous ne répondez pas à ma question. C’est de la diversion.

    Bonne nuit.

  • Le Doc.
    14 avril 2017 à 21:29

    , je pensais que karen pourrait comprendre en partie car elle est un peu du métier.

    Elle ne m’aura pas comme client, cependant je lui garde ma sympathie !…

    , merci Z.uZ.U ..

    🙂 à toutes les deux

  • @ Karen
    14 avril 2017 à 20:08

    Si tu savais… Tout est dit dans la phrase. Écoute ! Sois vraiment avec lui ! Un instant. Quelques jours seulement. Et tu auras la réponse à ta question que tu ne poseras plus.

  • Karen
    14 avril 2017 à 18:36

    … Je blague pour la littérature car je m’essaie surtout à vivre !…

    Et qu’est-ce que c’est pour toi vivre ?

  • HFTforEver
    6 avril 2017 à 15:32

    .. 🙂

  • n'apparaît pas dans le champ
    6 avril 2017 à 15:26

    Écrire un commentaire sur ce site avec un iPhone en débit réduit et en plein soleil relève de l’exploit !

  • HFTforEverHFTforEver
    6 avril 2017 à 15:21

    Zut ce smiley !

    🙂

  • HFTforEver
    6 avril 2017 à 15:18

    C’est doctissime

  • Valérie
    6 avril 2017 à 13:50

    là tu me lis !

  • C'est lui
    6 avril 2017 à 13:39

    Dans la nuit d’un printemps à …

  • FHTforEver
    6 avril 2017 à 13:36

    bien plus 😉

  • WP
    6 avril 2017 à 13:15

    3 commentaires à la suite HFTforEver !

  • HFTforEver
    6 avril 2017 à 13:11

    Allons bon ! 🙂

  • HFTforEver
    6 avril 2017 à 13:06

    .. le smiley n’est pas passé, le voici :

  • inconnu
    6 avril 2017 à 11:20

    C’est un quiproquo 🙂

  • HFTforEver
    5 avril 2017 à 21:28

    Si on commence avec ce répertoire on n’a pas fini Karen… ici elle revient de temps en temps… tu l’écoutes sur quel disque chez toi ?

  • Karen
    5 avril 2017 à 21:15

    Partir où personne ne part…

    « La quête ».

  • Karen
    3 avril 2017 à 21:00

    Finalement ça vaut la peine de se plonger dans cette poésie souterraine…

    C’est enrichissant.

  • Pascale.
    3 avril 2017 à 12:20

    Quelle quoi ?

  • Karen
    3 avril 2017 à 08:49

    Quelle.

  • Karen
    2 avril 2017 à 22:17

    Je rêve de partir en Russie aussi…

    Hubert lit Dostoïevski… Qu’elle bonne nouvelle.

    Merci pour l’info.

    Bonne soirée,

    Karen.

  • Le Doc.
    2 avril 2017 à 21:01
  • Pépé le Moko
    2 avril 2017 à 20:30

    🙂

  • .pépé
    2 avril 2017 à 20:26

    T’as de beaux yeux tu sais ..

  • .pépé
    2 avril 2017 à 20:22

    Madame karen :

    1/ il y a dans vos commentaires contradiction(s) alternatives, que vous ne la voyez pas me semble normal.

    2/ les personnes qui se sont investies ont surtout investi leur égo et l’argent du contribuable dispersée dans une recherche inutile.

    3/ de plus, vous le souligner plus, bas seul le Maître pourrait vous dire.

    Cordialement.

    Signé : pépé (pas le moco)

  • Karen
    2 avril 2017 à 18:30

    Je ne vois pas de contradiction, quand je parle de maître à penser et il y en a plusieurs pour moi je ne parle surtout pas de Gourou cela n’a absolument rien à voir. Et puis quand je parle de décortiquer, je parle des différentes personnes qui se sont investies dans poésie souterraine à expliquer les textes d’Hubert.

  • .
    2 avril 2017 à 18:09

    😉

  • .
    2 avril 2017 à 18:07

    😉

  • mon double
    2 avril 2017 à 18:05

    Leur envoie qui ! le Doc ? connaît pas 🙂

  • lalie
    2 avril 2017 à 17:52

    je veux dire qu’il se sert des textes des autres et les modifie pour en faire des chansons qui lui plaisent mais en dehors des auteurs connus pour lesquels il risque un procès il ne cite pas les autres auteurs et ne leur accorde même pas de crédit au contraire il leur envoie le doc pour noyer le poisson et les faire lâcher prise

  • lalie
    2 avril 2017 à 16:51

    encore faut-il qu’il ai lui-même écrit tous ces textes

  • HFTforEver
    2 avril 2017 à 15:50

    À table Silver !

  • Le Doc
    2 avril 2017 à 15:01

    @ grosmollard :

    Magnifique qui ?

    🙂

  • Le Doc
    2 avril 2017 à 14:59

    @ Karen :

    , avant que je m’essaie à sortir et si tu es bien l’auteure de ces 2 posts :

    1/ 30 mars 2017 à 7 h 43 min

    Je l’ai commandé aussi.

    Bonne journée à tous et à toutes qui venez ici sur les traces du maître à penser…

    2/ avril 2017 à 14 h 05 min

    Est-il bien nécessaire de tout décortiquer comme ça ? Certes c’est ce qui anime le débat mais n’avons nous pas tous et toutes notre façon parfois si différente d’interpréter les textes à Hubert ? Et c’est cela qui est bien je trouve toute cette diversification, toute cette différence… De toute façon l’Artiste lui seul détient la vérité de son œuvre.

    , n’y a-t-il pas là contradiction ?

    🙂

  • grosmollard
    2 avril 2017 à 14:49

    magnifique encore une fois

  • Le Doc
    2 avril 2017 à 14:35

    @ Karen :

    la Vérité de son œuvre je ne crois pas !…

    Et je signe : Jean-Pierre Zéni

  • Karen
    2 avril 2017 à 14:05

    Est-il bien nécessaire de tout décortiquer comme ça ? Certes c’est ce qui anime le débat mais n’avons nous pas tous et toutes notre façon parfois si différente d’interpréter les textes à Hubert ? Et c’est cela qui est bien je trouve toute cette diversification, toute cette différence… De toute façon l’Artiste lui seul détient la vérité de son oeuvre.

  • Le Doc
    2 avril 2017 à 14:03
  • Karen
    2 avril 2017 à 13:59

    Ah non ! non ! non ! pas de caprices… 🙂 mais du Rock fort oui ! oui ! oui ! 🙂

  • CélineCapucine
    2 avril 2017 à 12:16

    Enfin, l’opus tant attendu, l’oeuvre décortiquée par toutes ces têtes chercheuses ! Je vais me régaler, après avoir écouté la série passionnantes des conférences de madame Salvan-Renucci. La couverture, déjà, est très belle. Merci à tous.

  • Le Doc
    2 avril 2017 à 12:04

    Je peux parler dans le désert et c’est d’ailleurs là mon exercice favori 🙂

    , là je retourne.

  • Le Doc
    2 avril 2017 à 12:01

    Bonne journée Karen, je retourne à ma conférence 🙂

  • Karen
    2 avril 2017 à 11:59

    Et toi as-tu soif ?

  • Karen
    2 avril 2017 à 11:58

    J’ai commencé à lire Poésie Souterraine, quelques pages seulement et déjà beaucoup à dire…

  • Le Doc
    2 avril 2017 à 11:54

    Sans doute parce quoi tu n’as pas véritablement soif …

  • Karen
    2 avril 2017 à 11:50

    A continuer d’avancer dans le désert…

  • Le Doc
    2 avril 2017 à 11:48

    , et il me serait agréable de lire en plus comment tu résistes !…

  • Le Doc
    2 avril 2017 à 11:44

    , résistance à quoi !…

  • Le Doc
    2 avril 2017 à 11:43

    @ karen :

    … Non tu ne comprends pas karen ceux qui sont empêcher* de … , et surtout dans les  » TOCs  » car je connais cette problématique de l’intérieur et de l’extérieur !

    * sous une autre forme tu en fais partie ..

    , le reste relève des neurosciences pour expliquer cette notion de liberté.

    … Je m’appelle en partie Pierre et non Paul et j’exerce une autre poésie pour alléger notre condition 🙂

  • Karen
    2 avril 2017 à 11:36

    Ici on est peu, dans le désert il n’y en a pas beaucoup qui font de la résistance… 🙂

  • Karen
    2 avril 2017 à 11:28

    Haddock(y)! aux multiples facettes qui aime surtout s’approprier nos pseudos et qui me dit encore que je ne le comprend pas…

    Mais où va le monde…

    Il y a bien longtemps que je sais…

  • inconnu
    2 avril 2017 à 11:07

    🙂

  • Karen
    2 avril 2017 à 10:51

    J’apprendrai encore la vie…

    Bonne journée à tous et à toutes.

  • Karen
    2 avril 2017 à 10:49

    Merci à mon fils Louis qui vient de me mettre le lien

  • Karen
    2 avril 2017 à 10:48

    Ma vérité, c’est aimer sans posséder. Aimer sans attache et rester LIBRE. Laisser la liberté à l’autre, aux autres et savoir partir si cela ne me convient pas. J’ai appris à ne plus avoir d’attachement et à aimer encore plus… La vie, l’expérience que j’en ai fais m’a appris tous ça et jusqu’à mon dernier souffle j’apprendrai…

  • Karen
    2 avril 2017 à 10:40
  • Karen
    2 avril 2017 à 10:33

    Je voulais mettre un lien mais je n’ai pas réussi. A vrai dire je ne sais pas trop comment on fait ?

  • Karen
    2 avril 2017 à 10:28
  • angers
    1 avril 2017 à 23:18

    la, la lit !

  • lalie
    1 avril 2017 à 21:40

    je t’ai cru tu m’as allumée puis volé j’ai rien dit j’esperais mais t’as une gonze alors je suis ejectee tkt je te fous la paix maintenant que je sais que je ne suis rien j’ai fais tout pour ca t’auras plus de problème avec moi mais tu regleras ca au tribunal avec le pere de mon fils plus rien ne me retiens ici

  • Le Doc.
    1 avril 2017 à 12:27

    On m’accuse 🙂

  • HFTforEver
    31 mars 2017 à 22:18

    Doc ! Ne fais pas joujou avec mon mail 🙂

  • C'est pas moi
    31 mars 2017 à 20:25

    🙂

  • invite
    31 mars 2017 à 19:33

    De l’autre côté de l’espoir…

  • Le Doc.
    31 mars 2017 à 19:15

    , lucius caius des meules 🙂

  • lucius caius
    31 mars 2017 à 19:13

    Moi aussi Karen…

  • Le Doc.
    31 mars 2017 à 19:12

    , allo maman bobo 😉

  • Le Doc.
    31 mars 2017 à 19:10

    ♪ Le temps des tachyons ♪

    Les forains squattent sur les pavés des villes en fête
    Où les chiens se déchirent en s’arrachant la tête
    Les vagues d’intimité se voilent de brume et d’ombres
    Avec le bruit du temps qui frappe à la pénombre
    Féminité pulpeuse et beauté mystérieuse
    Dans le reflet des âmes et des pensées houleuses
    C’est la noce des nues, la noce des hobos
    C’est le train de minuit qui roule au point zéro

    MC2 sur racine carrée de 1 moins V2 sur C2
    Nous rêvons tous un peu de jours plus lumineux

    Là-bas, sur les terrains, vagues de nos cités
    L’avenir se déplace en véhicule blindé
    Symphonie suburbaine et sombre fulgurance
    À l’heure où les sirènes traversent nos silences
    Il nous restera ça, au moins de romantique
    Quelques statues brisées sur fond de ruine gothique
    Et des saints défroqués noyés dans le formol
    Avec d’étranges traînées rougeâtres aux auréoles

    MC2 sur racine carrée de 1 moins V2 sur C2
    Nous rêvons tous un peu de jours plus lumineux

    Pas d’émeutes aujourd’hui dans la ville aux yeux vides
    Juste quelques ados qui s’exercent au suicide
    Et quelques fols hurlants roulant des quatre feuilles
    Au terminal central des retours de cercueils
    Clairvoyance égarée dans les versets d’un drame
    Où l’on achète le vent, où l’on revend les âmes
    Où les soleils’ austères des aurores éternelles
    S’attaquent aux somnambules qui sortent leurs poubelles

    MC2 sur racine carrée de 1 moins V2 sur C2
    Nous rêvons tous un peu de jours plus lumineux

    Les machines à écrire s’enflamment sur la neige
    Les auto-mitrailleuses encerclent les manèges
    La route tourne en saignant sur son axe indécis
    Entraînant des enfants aux allures de zombies
    C’est Goethe à Weimar qui n’a pas vu le temps
    Futur des Dakotas dans les ténèbres en sang
    C’est l’onde de chaleur, dans le désert glacé
    Qui annonce le retour des printemps meurtriers

    MC2 sur racine carrée de 1 moins V2 sur C2
    Nous rêvons tous un peu de jours plus lumineux

    Paroles Hubert-Félix Thiéfaine

  • Karen
    31 mars 2017 à 19:09

    Je suis une amoureuse des arbres. Nous venons tous de cet univers et de toute façon nous avons tous un lien avec la nature entre autre plus je vieilli plus je m’en rapproche plus elle m’attire car un jour je sais que je retournerai dans ses profondeurs…

  • Karen
    31 mars 2017 à 19:00

    J’ai beaucoup aimé lire cet article sur la forêt…

  • Karen
    31 mars 2017 à 18:58

    Petite rectification Doc, je ne suis pas une « FAN » mais avoir de l’estime du respect de l’empathie c’est plus adapté et différent. Et puis en ce qui concerne la nostalgie je ne dis rien mais j’en pense pas moins…
    Bonne soirée.

  • lucius caius
    31 mars 2017 à 18:31

    Le nœud peut être croulant.

  • lucius caius
    31 mars 2017 à 18:30

    Dogmatique en vue! de tels propos tuent la mère plus sûrement que la fumée de cigarette! personnellement beaucoup de monde après avoir quitté le giron bienfaiteur mais je commence à me sentir seul et las de ces préceptes mortifères qui font ravage… alors vive le soleil, les fleurs et les chants des oiseaux, il nous restera ça.

  • Le Doc.
    31 mars 2017 à 11:49

    Ni 2, ni même 1 mètre : des repères, des références, et ma pensée ne relève d’aucun système métrique !…

    n.b :

    – l’enfant une fois le cordon coupé, et dépassé son  » moi-tout  » découvre qu’il est seul au monde ..

    – seul peut exister alors heureusement le lien sans nœud coulant* 🙂

    * mais je n’ai nul besoin d’une autre maman 😉

  • Karen
    30 mars 2017 à 07:43

    Je l’ai commandé aussi.

    Bonne journée à tous et à toutes qui venez ici sur les traces du maître à penser…

    Karen.

  • Obélix
    24 mars 2017 à 19:09

    @ Doc :

    Je me paye juste ta tronche ! 🙂

  • Obélix
    24 mars 2017 à 19:08

    Les déconseilleurs ne sont ni payés ni impayés.

  • Le Doc.
    24 mars 2017 à 18:07

    @ Obélix :

    , je ne te l’ai ni conseillé, ni déconseillé !…

  • Obélix
    24 mars 2017 à 16:23

    Les conseilleurs ne sont pas les payeurs, moi je l’ai commandé !

  • Le Doc.
    24 mars 2017 à 14:47

    , Obélix je te conseille de lire Hans Selye et on en reparle !…

    n.b : n’est pas le Doc qui veut 🙂

  • Obélix
    24 mars 2017 à 14:15

    Tu es un stressé toi-même ! car.

  • Le Doc.
    24 mars 2017 à 13:25

    S’il m’est offert peut-être le lirai-je car je suis allé à ce colloque à la demande d’Isabelle Guilloteau, celle-ci stressait en repensant à son contact rude avec Hubert dans les loges à Châteaudun !…

    n.b : toutefois ma présence à fait le bonheur de Rémy et celui d’Alexandre 😉

    🙂